CHAPITRE QUARANTE

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Eros

-j'ai tellement mal, pleura t-elle dans mes bras, 1 heure qu'on est là et sa foutu chatte veux pas s'ouvrir, enfin le col ou un truc de se genre

-ça sera bientôt fini, lui répond-je en lui massant le ventre

-mon cul oui, t'as entendu le docteur, j'en ai pour des heures de contraction, rétorque t-elle sur son ballon gonflable

-ça passera vite, dis-je

-tu me touchera plus jamais, tu te branlera à vie, sanglote t-elle alors que je pars en fou rire, en plus je suis poilu de partout, je t'ai dis de m'épiler avant hier, cris t-elle

-mia rosa je l'ai fait y'a deux semaine abuse pas, souffle-je, j'ai bien rigoler le jour où je suis rentrer dans la salle de bain et je l'ai vu plier en deux pour s'épiler et comme je suis un bon mari, j'ai terminer le travail à la perfection.

-on est là, cria mon frère en arrivant essoufflé, ta mère et ton Frère arrive demain, maman le plus vite possible, Miguel et Maria ça va tarder, leur petite est malade, s'exclama t-il alors que Ezio et Lucia déboule dans la chambre

-Adelina, souffle Lucia en s'approchant d'elle, elle est a 5 mois de grossesse aussi, bordel ça va être rempli de môme, génial

-tout c'est que je peux te dire c'est que tu va bien souffrir, dit ma femme, chut, dit-elle en s'immobilisant, j'ai plus de contraction, s'exclama t-elle joyeusement

-et pourquoi on doit se taire ?, chuchota mon frère

-il doit sûrement dormir, répond t-elle, personne parle, menaça t-elle

-on est venu te déposer quelque affaires que ton cher mari à oublier et on revient quand il sortira, dit Lucia

-moi je reste, je veux voir ma nièce, dit mon frère

-c'est un mec, dit Ezio

-on verra bien mais tu me devra 1000€, rigola mon frère

-vous avez parier sur mon enfant ?, grogne-je

-du coup elle vient dans combien de temps ?, demanda mon frère pour changer de sujet

-Enzo rentre, ça peut prendre des heures, répond ma femme

Il souffle mais ne dit rien et ils se décident enfin de nous laisser tranquille en partant, je me place devant ma femme et soulève sa blouse pour regarder son beau ventre, il me manquera, c'est pour ça que je vais lui faire un deuxième enfant au plus vite, j'ai hâte.

3 heures sont passer et elle sait enfin endormi dans le lit, je continue de lui caresser le ventre pour la soulager comme je peux

-fait pas de mal à maman, d'accord mon ange, souffle-je en déposant un baiser sur son ventre puis je sens un coup de pied et ma femme se réveille en hurlant

-merde, merde, merde, cria t-elle en arrachant les draps

-eh mia rosa, ça va aller, dis-je en prenant ses mains dans les miennes

-oh mon dieu, ça fait mal Eros, pleura t-elle en enfonçant ses ongles dans mes mains

-défoule toi sur moi, dis-je prêt à recevoir tout les coups qu'il faut

-non mon amour, enlève moi juste ce bébé, sanglote t-elle avant d'écarter les yeux

-quoi?, y'a quoi ?, demande-je

Elle répond pas mais hurle de douleur en lâchant mes mains pour les poser sur son ventre

-appel le docteur, vite, crie t-elle, je sors de la chambre et m'approche d'une infirmière

Mia RosaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant