CHAPITRE DIX-HUIT

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Je me réveille avec une grosse migraine, je vois que Lucia est plus là, je descend sans faire attention à mon apparence, j'arrive au salon et je vois Eros avec une de ses bouteilles près à s'en servir, Lucia me lance un regard complice, bon je dois mettre en avant mes talents d'actrice, je m'avance vers lui et lui enlève la bouteille de sa main

-on doit parler, lui dis-je

-d'accord mais il me faut un verre, dit-il en reprenant la bouteille

-non, crie-je, enfin je veux dire à partir de maintenant pas d'alcool dès le matin

-pourquoi ça ?, me demanda t-il alors qu'il en verse dans son verre, il le ramène à ses lèvres et prend une gorgée

-je suis vraiment désoler Eros, je te promet que je te rembourserais les deux bouteilles

-t'es sérieuse toi?, me cria dessus Lucia

-j'aime pas mentir, dis-je alors qu'il recrache sa gorgée dans son verre

-putain c'est immonde, grimace t-il

-on est morte, souffle Lucia

-non, je suis de bonne humeur alors pour cette fois ça passe, repond Eros, Lucia se soulage directement alors je me laisse tomber sur la canapé

-merci Adeline que tu l'ai embra.....,se stoppa Lucia dans sa phrase quand je lui fais les gros yeux

-pas besoin, on a tout entendu hier soir, avoue Enzo

-pas ma partie hein ?demanda Lucia

-oh que si, réponds Enzo

-Eros je te jure que on était bourré la première fois et après bah....

-je m'en fou Lucia, répond Eros, tu veux que je te dise quoi?, j'ai rien à dire

-tu devrais l'embrasser plus souvent, rétorque son frère en me mettant mal à l'aise

-c'est pas moi, murmure-je en détournant le regard

-lui ou toi c'est la même, je peux enfin avouer que c'est moi qui a rayer ta voiture, avoue Enzo alors que son frère fronce les sourcils en lui lançant un regard noir, Adelina je t'en supplie embrasse le, je te passe de l'argent si il faut, dit-il alors que les deux se lève, un pour le buter, l'autre pour se sauver

-j'ai payer 15000€ pour cette rayure putain, grogne t-il, c'est une voiture de collection, cris t-il

-Adelina embrasse le s'il te plaît, me supplie son frère

-non parce qu'il le regrettera, dis-je alors qu'il tourne la tête vers moi

-quoi?, demanda t-il

-fait pas genre stp, j'ai entendu, avoue-je alors qu'il attrape ma main pour me tirer à l'étage, il referma la porte derrière moi, il prend en coupe mon visage et pose ses lèvres contre les miennes, mon coeur loupe un battement alors qu'il commence à m'embrasser, merde mon haleine, je le repousse alors qu'il sourit

-je ne regrette pas petite chieuse, avoue t-il

-alors pourquoi t'es parti et t'as dit au téléphone que tu le regrettais, dis-je gêner

-honnêtement je commençais à bander et je voulais pas que tu prenne peur, je regrette ça pas t'avoir embrasser, avoue t-il

-oh, répond-je en me sentant très stupide maintenant

-je me branlerais avant de t'embrasser a l'avenir, me taquine t-il alors que je grimace

-beurk, répond-je alors que je sors de la chambre suivi de se dernier qui me colle au cul, arrête, dis-je alors qu'il passe son visage dans mon cou pour déposer un baiser

Mia RosaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant