CHAPITRE TRENTE-CINQ

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Il s'endort directement en lâchant prise, mon dieu c'était la première fois que je le voyais autant mal de toute ma vie, il était empli de colère, je me lève doucement en le couvrant correctement et je vais vite mettre une paire de training pour descendre dans le jardin

-alors comment il va ?, demanda son frère

-il dort, souffle-je désespéré

-je suis tellement désoler par son comportement, souffle sa mère

-c'est pas à toi de t'excuser, dis-je en m'asseyant autour de la table

-Mme.Cazano ont en fait quoi ?, demanda un garde

-rien, partez à votre poste, dis-je

-avec tout mon respect, M.Cazano aurait voulu la tuer, répond t-il

-garde ton respect et fait ce que je te dit compris ?, grogne-je, il baisse la tête et ouvre sa bouche mais je le coupe directement, dit encore un truc et c'est toi qui y passe, crie-je, il hoche la tête et s'en va

-ça fait peur tout ça, souffla mon oncle en secouant la tête

-malheureusement c'est la vie, répond-je

-tu peux encore partir Adelina, t'es pas obliger de rester autour de tout ça, rétorque t-il

-je rêve ou tu me fais la moral la ?, lui demande-je

-je fais aucune moral mais putain c'est rempli d'arme de partout ici, tu veux vraiment ça pour tes enfants, qu'ils ont un père dangereux, répond t-il

-c'est cette homme dangereux qui a organiser votre rencontre et qui a fait tout son possible pour que vous soyez bien alors parle plus jamais de mon frère comme ça parce que c'est lui qui a sauver ta nièce sinon tu aurais jamais bouger ton cul, grogne Enzo

-Avdil Eros est un homme bon, c'est dur de le croire en le voyant mais elle est a sa place ici, dit ma mère

-d'accord si vous le dites, je vous croit et je suis content si il fait parti de la famille, répond t-il

-vous en parler pas demain, tout le monde fait comme si de rien n'étais passer, dis-je en les regardant

-compte sur nous, répond mon cousin, vous allez faire quoi d'elle ?, demanda t-il gêner

-non je vais pas la tuer, détendez vous, rie-je faussement

-tata pourquoi elle est devenu comme ça ? Demanda mon frère, enfin on sait qu'elle est un peu hautaine de nature mais bordel là ça devient grave, souffle t-il

-elle a toujours couru derrière l'argent alors qu'on a une belle maison, une belle voiture, enfin on peut se permettre de bien vivre mais c'est pas assez pour elle et elle essaye tout pour avoir plus, répond t-elle, je me lève en les laissant parler et je me dirige au sous sol, je passe la porte et avant qu'elle puisse dire quoi se soit je la gifle de toute mes forces

-t..tu va me tuer?, bégaie t-elle

-non, répond-je en la chopant par la gorge, ose encore une fois faire un faux pas envers moi, la famille ou ta mère et je l'apprend je te le promet tu va regretter ton existence, j'ai été clair ?, grogne-je

-o..oui, répond t-elle

-va t'habiller maintenant, siffle-je en la lâchant, elle se lève directement en sortant de la pièce, je la suis jusqu'à l'étage, elle monte dans sa chambre et je rejoint les autres entrain de jouer au carte avec du çay

-vous faite chier, grogne Enzo

-pleure pas hein, plaisanta mon frère

-ta gueule toi, siffle t-il, en plus on est obliger de dormir ensemble, souffle t-il

Mia RosaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant