CHAPITRE HUIT

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Je me retrouve de nouveau dans ce grenier, il fait encore plus chaud cette fois, pourquoi fait-il autant chaud, j'essaie de bouger mais je suis attacher au mur, un enfant est aussi attacher en face de moi, il a des bleu partout autant que moi, pourquoi somme nous en sous vêtement?, pourquoi quand j'essaie de lui parler il m'entend pas ?

-t'es qui?, lui demande-je alors que aucun son ne sors de ma bouche

La porte s'ouvre deux silhouette, mon père et un autre homme, ils rigolent, pourquoi ils rigolent ?, mon père s'avance vers cet enfant et commence à se déshabiller alors que l'autre homme fait la même chose avec moi, je commence à hurler de toute mes forces alors que le son ne sors pas, il commença à pleuré tout autant que moi, putain faut que je le sauve, je dois le sauver, je me débat de toute mes forces mais mon corps ne me suis pas, pourquoi j'y arrive pas putain ? Pourquoi quand j'hurle ils m'entendent pas ?

Puis..

J'ouvre mes yeux sur la réalité, le plafond, je le reconnais c'est ma chambre, pourquoi suis-je ici ? Et pas l'hôpital ?, je me redresse du lit et je vois qu'il sait transformer en chambre d'hôpital, j'enlève le masque sur mon visage en le déposant sur le lit et les câbles coller à mes bras, Eros...., mon dieu Eros est t-il en vie ?, je me redresse en ouvre la porte à la voler et commence à courir dans les escaliers, j'arrive au salon et je vois les trois assis, les visages blanc

-Adelina, souffle Enzo en se levant

-il est mort ?, Eros est mort ?, demande-je alors que mes yeux se remplisse de larme, j'ai essayer de le sauver, je vous jure, il a été trop rapide, sanglote-je

-Adelina, dit Eros en revenant du jardin, mon coeur se soulage à sa vue, mon corps devient lourd, beaucoup trop lourd, j'essaie de d'avancer pour me reposer mais je manque presque de tomber mais Ezio me rattrape, il me pose sur le canapé alors je me détend dessus en sentent une douleur à ma poitrine.

-on devrait les laisser seuls, chuchote Lucia en prenant Enzo par le bras, Eros s'assoie à coter de moi alors je m'approche et me pose sur son torse, je me sens bien là, c'est chaud, il passe ses bras autour de moi et je sens légèrement qu'il me serre contre lui

-ne me fais plus jamais ça, Adelina, me murmure-il a l'oreille

-d'accord, enfin le temps que j'aille mieux, lui dis-je pour l'embêter

-tu m'a manqué minimoys, rigole t-il, ça fait vraiment du bien d'entendre son rire, il est très beau à entendre

-autant ?, lui demande-je surprise qu'il me l'avoue

-2 mois ça fait beaucoup quand même

2 mois ?, je me redresse avec les gros yeux, c'est pas possible, je peux pas y croire, j'ai pas passer deux mois dans un lit ?

- sérieusement ?, lui demande choquer

-64 jours exactement

64 jours dans le coma, j'ai passer 64 jours à ne rien faire

-il est au courant mon frère ?, lui demande-je

-non, y'a un mois ils ont de nouveau essayer de nous attaquer, c'était ton frère qui était là, je lui ai dit que tu t'étais casser une jambe en montant dans un arbre, il m'a cru, rigole t'il

-le pire dans tout ça, c'est que je suis capable de le faire, glousse-je, je voudrais bien monter sur un arbre comme un enfant et avoir ma cabane

-mais tu le fera jamais

-oh que si et je vais me construire une grande cabane et je mettrais plein de rose partout, lui dis-je sur de moi

-si c'est ce que tu veux, souffle t-il en me gardant dans ses gros bras, je vais appeler le docteur pour qu'il vienne contrôler si tout va bien, je te ramène dans la chambre, dit-il en me soulevant comme une princesse jusqu'à la chambre pour me poser délicatement dans le lit, comment il arrive à être autant doux avec ses gestes alors quand on le regarde on peut croire qu'il veut juste nous massacrer

Mia RosaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant