Mia Rosa

CHAPITRE SEIZE

-Lucia, crie-je en la voyant assise sur la table à manger sur la terrasse

-Adelina, crie t-elle en se levant, je m'avance a toute vitesse et saute dans ses bras en la retrouvant enfin

-putain tu m'a tellement manquer, souffle t-elle en me serrant dans ses bras

-toi aussi, souffle-je en la libérant

-tu dois tout me raconter, s'excite t-elle

-y'en a raconter mon dieu, répond-je, dans ma chambre avec des pop corn ?

-ouais, répond t-elle

-on est là aussi hein, se plaignit Enzo, je sais que j'aurais pas de câlin de mon frère mais toi quand même, je souris de toute mes dents en contournant la table pour le prendre dans mes bras

-tu m'a aussi manquer, lui dis-je en le lâchant

-toi pas trop, on avait le calmer, me taquine t-il

-tu t'es fou de moi la parce que c'est qui qui fait chier tout le monde avec sa musique la, rétorque-je

-putain Adelina je te l'ai dit mille fois, t'es en Italie maintenant t'es obliger de l'apprendre, souffle t-il désespéré alors que je vais prendre Ezio en dans mes bras

-comment tu va petite ?, me demande t-il

-bien et toi ?

-bien, ils me feront moins chier maintenant, répond t-il joyeusement

-tous au bureau, ordonne Eros en rentrant dans la maison

-toujours autant aigri a ce que je vois, souffle Lucia alors qu'on le suit au dernier étage, on s'installe tous dans un siège alors qu'il prend place derrière son bureau

-je veux tout savoir, ordonne t-il en regardant les trois

-bah le bonne nouvelle c'est qu'on pris en possession de Saranda et Ksamil, la mauvaise c'est qu'ils sont pas loin, nous informe Enzo

-bien, répond Eros

-bien ?, répéta son frère surpris, je vient tout juste de te dire qu'ils peuvent même être dans la ville d'à coter

-on va s'y préparer, répond t-il, si ça devient trop Miguel nous aidera comme il a repris touts ses hommes et ses terrains, je vais aller parler avec nikos dans quelque jours on aura besoin de son aide

-c'est qui?, demande-je

-chef de la mafia de la Grèce, me répond Ezio

-renforcer la sécurité de la maison, Lucia fait en sorte qu'on reçoit une alerte à chaque fois que quelque chose est louche, Ezio gère les hommes et Enzo continue en Albanie, ordonne t-il, ils sont où mes cigares, demande t-il en ouvrant le tiroir

-quand tu entendra l'histoire folle tu en rira, rigola faussement Enzo

-cassez vous avant que je vous fasse exploser vos têtes, menaça t-il alors que les trois sortent a toute vitesse du bureau

-pas toi Adelina, ferme la porte, ordonne t-il en ouvrant un autre tiroir en sortant un paquet de clope, je ferme la porte et va m'assoir en face de moi, il met sa main dans sa veste de costard et ressors une enveloppe et me la tend

-20'000€, dit-il alors que je vois tout les billets dans cette enveloppe, Enzo m'a appris tout ce qui est avec l'argent et je peux vous dire que c'est énorme

-c'est pour moi?, demande-je le sourire au lèvres

-tu le mérite mia rosa, profite en, dit-il en ouvrant son ordinateur portable, je pousse un cri de joie et je contourne la table pour sauter dans ses bras