CHAPITRE VINGT-CINQ

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Ezio

-putain mais ça va pas ?, me demanda ma copine alors que je voulais juste que tout sa s'arrête

-vous comprenez rien, répond-je en sortant par la terrasse en essayant de la chercher, je la vois assisse sur le sable prêt de l'eau, je m'approche et m'asseye a coter d'elle qui essuie directement ses larmes

-tu va encore me crier dessus?, demanda t-elle sarcastiquement

-je me suis mal exprimé Adelina, je sais qu'on est fautive à 100% dans cette histoire mais tu nous a tous abandonné, tu m'a abandonné, tu crois que je m'en fou de toi et que je suis toujours froid mais je crèverais pour toi comme pour Lucia, enfin maintenant c'est plus clair mais avant je vous coïnciderait comme deux soeur

-tu la baisais, me coupa t-elle

-ferme la, lui dis-je en continuant, personne était sérieux et on s'en veut tous à mort, c'est ce que j'essaie de te dire Adelina, on veut plus que tu détourne le regard alors qu'on essaye de se faire pardonner, Lucia à pleurer toute la nuit hier soir bon j'avoue j'avais un peu la haine elle m'avait promit une baise, dis-je alors qu'elle commence à rigoler, elle s'en veut tellement, mon dieu, tu sais pas comment elle s'en veut, pendant 9mois elle s'en voulais en disant j'ai perdu une soeur

-je l'aime, me coupa t-elle, je l'aime comme telle Ezio mais j'ai tellement peur que vous me refassiez ce coup, souffle t-elle

-on le fera plus jamais, je te le promet sinon moi même je couperais la bite a ton chère aimer, lui répond-je

-c'est pas que je veux pas lui parler mais je suis tellement gêner devant elle, enfin toute les deux on est gêner et ça donne ça, répond t-elle

-pardonne nous stp, lui dis-je alors qu'elle pose ses yeux sur moi avant de venir me faire un câlin

-je vous pardonne, souffle t-elle alors que je passe mes bras autour de sa taille

-t'es devenu sacrément bonne, t'as refait ton cul?, lui demande-je alors que je reçois un coup sur le torse

-ferme la, je me suis goinfré de tapas pendant 9mois, tes pâtes me manque, dit-elle en se relevant alors que je la suis

-je t'en ferais autant que tu veux, lui dis-je alors qu'elle me souris, il me réchauffe toujours mon coeur, on arrive près des autres et elle contourne la table en allant prendre ma copine dans ses bras, elle se lève en sautant sur elle alors que mes yeux se baisse sur son corps de déesse, j'espère qu'elle se rattrapera ce soir.

-il t'as dit quoi?, lui demanda t-elle

-qu'il m'aime et il crèverais pour moi, ironise t-elle alors qu'elle reçoit un bout de pain en pleine gueule avant qu'elle parte en fou rire, on se rasseye à nos place

-bordel je vais te sucer comme je ne l'ai jamais fais, chuchota Lucia à mon oreille alors que ma queue se durci légèrement dans mon pantalon

-putain ferme là sinon je te prend sur cette table, lui répond-je

-comment vous vous êtes mis ensemble?, nous demanda Adelina

-bah j'en avais marre qu'il sache pas quoi faire alors je lui ai dit soit c'est ça soit rien et il a choisis de m'aimer comme un fou, gloussa Lucia alors qu'elle a totalement raison, je l'aime comme un taré et je regrette de pas avoir vu tout ça depuis le début.

-c'est mignon, répond t-elle alors que mon regard se pose sur mon patron qui se fait tout petit en regardant Adelina rigoler, ça me fait chier de le voir comme ça parce qu'il a droit d'être lui aussi heureux

-Adelina, Eros, je crois que vous avez des trucs à vous dire aller vers la plage, on vous attend pour manger, leur propose-je alors que Eros me lance un regard noir en sachant très bien qu'elle veut pas

Mia RosaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant