CHAPITRE SEPT

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Eros

Non, non, non, non, elle a fermer les yeux, pourquoi elle a fais ça ?, je hurle de rage alors qu'on est entouré de corps inerte, pas elle putain, tout sauf elle.

-Adelina, souffle Lucia en s'approchant alors qu'elle commence à pleurer, pas elle putain, crie t-elle, t'as fais quoi putain ? Pourquoi tu la ramener?, me crie dessus

-putain ta gueule, elle a encore un pouls, l'ambulance arrive dans combien de temps ?, me demande mon frère

-bientôt, souffle-je alors que j'ai son corps dans les bras

-poussez vous, crie un ambulancier, ils s'y mettent à trois dessus en criant plusieurs trucs, il l'a soulève en la mettant sur une planche et la mette dans l'ambulance, je me met dedans en laissant les autres en dehors et je vois qu'ils lui mettent plusieurs câble

-on doit enlever la balle, annonce un ambulancier

-non c'est trop dangereux, répond son collègue, il est a quelque centimètre du coeur, on se loupe, elle décède alors on laisse ça au docteur

-on l'enlève pas, elle y reste, on a 5 min jusqu'à l'hôpital, elle va jamais survivre, dit le premier

-j'ai dit non, je veux pas avoir une mort sur la conscience

-on s'en fou de ta conscience là, elle va y rester, crie t-il

-fermez la putain, crie-je en les regardant, ils baissent les yeux puis continuant leur discussion en chuchotant, je prend sa main dans la mienne, j'espère qu'elle la sens, j'espère qu'elle est entrain de se battre pour rester vivante.

Arriver à l'hôpital, je me détache d'elle quand ils l'a ramène directement dans le bloc opératoire

-M.Cazano, je dois vous tenir au courant que y'a presque pas de chance qu'elle y survive, m'annonce t-il

-elle crève, je te fais sauter la cervelle, devant toute ta famille et après je me charge d'eux, le menace-je sérieusement

-M.Cazano, je comprend que vous puissiez être triste mais on fait tout pour qu'elle survive, ils nous faut un miracle

-alors commence à prier connard, je la veux vivante, grogne-je en m'approchant de lui, prêt à lui refaire sa gueule de pute mais je me fais tirer en arrière

-allez faire votre travaille docteur, dit mon frère, putain qu'est ce qu'il te prend?

-lâche moi, grogne-je en m'asseyant sur une chaise, il s'asseye a coter et je vois les deux autre arriver en courant

-alors?, demande Lucia toujours en pleurs

-on attend un miracle, ironie mon frère

-t'es qu'un putain de con, cria Lucia, pourquoi tu l'a pris ? On va dire quoi à son frère hein ? Elle était enfin un peu heureuse et t'as tout gâcher

J'ai tout gâcher...j'ai tout gâcher...j'ai toujours gâcher

-c'est pas de sa faute Lucia, calme toi, dit Ezio en la prenant dans ses bras pour la calmer

-rentrer, ordonné-je en voulant rester seul

-on reste, dit mon frère

-j'ai dit, rentrer putain, crie-je à deux deux de les tuer sur place

-d'accord, répond t-il en se levant, je les vois partir alors je sors mon téléphone et va dans l'application des photos, je regarde la photo qu'elle a faite et je souris comme un idiot en la voyant toute souriante près de moi alors que je tire la gueule, plier en deux pour être à son hauteur. Deuxième fois que j'échoue, deux putain de fois que j'arrive pas là protéger.

Mia RosaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant