CHAPITRE QUARTE-UN

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-allez leyla, s'il te plaît arrête de pleurer, souffle-je alors que ma princesse continue, depuis avant-hier elle arrête pas, je sais qu'elle est pas malade, elle est pas de fièvre, n'y rien et j'ai même pas l'aide de mon mari, trop occuper avec ses affaires à la con, je lui en veux a mort.

-oh mon petit coeur, souffle Enzo en rentrant chez nous de bon matin, bien habillé et coiffer à la perfection

-tu fais quoi là à 08:00?, lui demande-je

-on doit aller gérer des affaires, répond t-il en récupérant ma fille dans ses bras et mon coeur se serre en la voyant grandir tellement vite, 10 mois, elle a pleins de bouclette sur la tête et elle a hérité de mes yeux, par contre c'est la même gueule que son père qui a disparu depuis des jours.

On parlons du loup, il descend des escaliers, habiller à la perfection et je sens directement son parfum, je lui lance un regard noir en récupérant ma fille

-tu va où ?, lui demande-je alors qu'il fronce des sourcils en entendant ma voix tranchante

-travailler, répond t-il en s'approchant de nous mais je le stop directement

-quand va tu te rappeler que t'as une famille maintenant?, lui demande-je

-il s'est passe quoi ?, souffle t-il

-peut être que t'as une fille qui pleure depuis 3 jours, bah non tu le sais pas comme t'es jamais là, oh aussi que j'ai pas pu prendre une putain de douche depuis, t'es jamais là Eros, on a besoin de toi ici et pas dehors, crie-je à bout

-tu sais je peux t'aider, souffle Enzo

-t'es pas le père Enzo, j'ai besoin de mon mari et pas de toi, crie-je en déposant parterre ma fille

-je t'ai prévenu que je serais vraiment occuper quelque jours mia rosa, répond mon mari

-putain c'était y'a deux semaine, je vais peter un plomb Eros, bordel je pue à des kilomètres, j'ai de la bave sécher de ta fille depuis 3 jours sur moi et je peux même pas te demander de la garder 5 min parce que tu va a tes casino ou toute les meufs se déhanche comme des putes, hurle-je

Il hausse un sourcils en serrant sa mâchoire après mes derniers mots et notre fille recommence à pleurer à mes pieds, je la récupère dans mes bras et monte directement à l'étage

-désolé mon ange, maman criera plus jamais, souffle-je en rentrant dans sa chambre, allez mon ange calme toi s'il te plaît, souffle-je alors que la porte s'ouvre de nouveau sur mon mari, il s'avance doucement vers moi et récupère notre fille dans ses bras

-je suis désoler mia rosa, murmure t-il

-laisse tomber, répond-je en ramassant les jouets de ma fille parterre, de toute façon tu t'excuse mais tu t'en va dans quelque minute, siffle-je

-capo, dit un garde en rentrant dans la chambre

-quoi?, grogne mon mari

-vous devrez attendre avant de partir, tout les pneus de vos voitures ont été crever, dit le garde alors que je me fais d'un coup petite

-par qui?, demanda mon mari

-votre femme, hier soir, répond ce dernier alors que mon mari souffle désespéré

-remplacer les, ordonne t-il alors que le garde sors de la chambre, toute Adelina ?, me demanda t-il avec un sourire au coin

-petite vengeance personnel , répond-je en haussant les épaules

-si ça t'a un peu soulagé tant mieux écoute, répond t-il en regardant notre fille qui a retrouver son joli sourire

-pa...., s'écria notre fille alors que j'écarte les yeux en m'approchant d'eux

Mia RosaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant