CHAPITRE TRENTE-SEPT

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Eros

-on est tous prêt, me dit Lucia en ouvrant la porte de ma chambre, woooow, t'as jamais été autant beau gosse de toute ta vie, glousse t-elle en s'approchant de moi

-je flippe, avoue-je en soufflant

-pourquoi ?, c'est déjà ta femme, c'est juste les festivités aujourd'hui, répond t-elle en récupérant mon bras pour ajuster ma chemise

-tout un nouvel chapitre de ma vie s'ouvre et je sais pas quoi faire, je me demande si on aura encore cette amour dans quelque année, j'en sais rien putain, souffle-je

-Eros elle t'aime comme personne ne t'as aimer, elle me parle souvent de toi enfin pas de sex hein, glousse t-elle, mais mon dieu c'est toujours Eros par là et Eros par ci, tout l'amour qu'on te porte n'est même pas le 5% du sien, croit moi s'il te plaît, souffle t-elle

-je sais qu'elle m'aime mais qui dit que dans 5 ans elle veut pas découvrir le monde seule comme elle a jamais rien vu de sa vie, dis-je avec la boule au ventre

-elle tient un carnet avec tout se qu'elle veut faire et tout ça c'est avec toi qu'elle veut faire, vérifie elle le garde dans son premier tiroir, dit-elle en m'incitant

je tend mon bras et ouvre son tiroir pour en sortir un carnet blanc, j'ouvre la premier page et je vois qu'elle a écrit se qu'elle à penser de nos premiers rendez vous puis vienne les rendez vous qu'elle veut faire et tout ça avec moi, juste moi, je me sens subitement soulager.

-tu vois maintenant lève toi et va chercher ta femme, elle m'a écrit, elle est a deux doigts de faire un malaise, rigola t-elle

-elle t'as envoyer des photos?, lui demande-je curieux

-non, je sais à quoi elle ressemble sa robe et je peux te dire qu'elle va être magnifique, une vrai princesse, souffle t-elle

-putain Lucia on arrive pas à trouver les drapeaux, dit Enzo, oh woooow mon frère est beau gosse, souffle t-il

-je les ai donner au garde pour les accrocher au voitures, répond t-elle

-bien, tout le monde est là, y'a une trentaine de voiture dans la cours et c'est devenu la grosse merde, dit mon frère

-j'arrive, souffle-je en me levant la boule au ventre, bordel c'est le moment, je descend en bas et vois mon salon rempli de ma famille

-attend mais je comprend pas la, on va aller la chercher pour la ramener ici et après ce soir on va faire la fête ?, je comprend pas pourquoi on va pas directement à la fête?, demanda mon cousin

-parce que les albanais font comme ça et arrête avec tes questions à la con, tu me fais chier, grogne Ezio

-chéri, t'es magnifique, dit ma mère en venant me prendre dans ses bras

-merci maman, t'es aussi très joli, dis-je en déposant un baiser sur le haut de sa tête

-gati ina( on est prêt), me dit le musicien en tenue traditionnel albanaise avec son tambour à la main, bordel elle me fait faire n'importe quoi cette chieuse

-on y va, dis-je en m'avançant vers la sortie

-enfin je pourrais la voir, s'exclama ma cousine en sortant

Je rentre dans la dernière voiture, là plus décorer, a l'arrière avec Ezio comme chauffeur et les autres se démerde, qu'ils rentrent ou ils veulent, mon téléphone vibre alors je le sors et je vois qu'ils écrivent dans le groupe

Sergio:
On arrive, si t'as besoin d'aller au toilette c'est maintenant 😂

Adelina:
Ta gueule, je vais m'évanouir et mon putain de cousin en rajoute une couche

Mia RosaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant