Jamais elle ne pensais que se serait un des meilleurs amis de son frère qui deviendrait son sauveur.
Ses traumatismes l'ont détruite, seul lui a réussi à la reconstuire, non sans erreurs.
Mais l'amour sans mauvais passages est un mite.
Pourtant, Yu...
Je regarda la notification de mon portable. Un message de ma mère.
Maman: On est en bas, descendez tout de suite.
Je regarde ma sœur et lui dit légèrement paniqué.
Ils sont arrivés... Déclarai-je
Pardon ?! Mais ils étaient pas sensés arrivé demain?!
Je sais, l'avion à dû atterrir plus tôt, j'ai pas osé plus parler avec elle, tu l'as connais. Quand maman est énervé, tu as intérêt à pas en placer une. Continuai-je.
Finalement, par un miracle, nous trouvons le courage de de descendre. Une par une nous descendons les marches, Yuna est derrière moi. Avant d'atteindre la zone on ils peuvent nous voir, je regarde Yu et lui sourit -même si je ne suis vraiment pas rassuré-.
Je fais abstraction, je part en premier.
J'aperçus mon père assis sur une chaise les bras croisés. Il faut savoir que mon père est très imposant mais ce n'est pas vraiment lui le plus "dangereux", c'est notre mère, elle est très belle et gentille mais quand elle s'énerve c'est très compliqué. Elle, elle est debout les mains sur la taille, elle claque des pieds contre le carllage du salon.
Elle m'aperçois, dans les marches.
Ah enfin, c'est pas trop tôt, commença-t-elle. Descendez, vite!
On exécute sans un mot. Dans le salon le silence règne les adultes sont en face des enfants. Je gardais Yuna dernière moi, comme un protecteur.
J'essaya de commencer une "conversation" -si on pourra l'appeler comme cela-.
Yuna n'a rien à voir là dedans, je prendrai toute la responsabilité, dis-je.
Sûrment pas, elle a la même responsabilité que toi jeune homme, me corriga mon père d'un ton énervé. Elle l'a bien gardé pour elle.
Je vis, que la conserné bessa la tête.
Vous vous rendrez compte?! Demanda brusquement maman. Surtout toi Chifuyu, quesqu'il t'es passé par la tête, de rentrer dans un gang?
Mai- je fit couper.
Il n'y a pas de "mais", déclara notre père en se levant.
Il se plaça en face de moi, avec Yuna -avec nos petites tailles- nous sommes obligés de lever la tête pour l'apercevoir.
J'ai reçu, en pleine réunion, un appel de la gendarmerie stipulant que mon nom de famille était sur un avis de recherche. Continue-t-il. La personne sur cet avis de recherche c'était toi!
•🍡•
•POV PÈRE•
C'est vrai que les revenus de l'entreprise son- commençai-je avant d'être interrompu.
Monsieur Matsuno, désolé de vous interrompre mais quelqu'un vous demande au téléphone. Me dit ma secrétaire.
Oui bien-sûr, je reviens, désolé.
Je pris le téléphone, et entendit une voix grave me stimuler que mon nom de famille était apparu dans un "WANTED" lancée par la police.
Je suppose une coïncidence, un autre Matsuno, un stupide délinquant.
Quand l'opérateur me donna le nom complet, je fut perdu.
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Mon fils?!
•🍡•
Il tendit son index vers moi.
Comment expliques-tu que j'apprenne que mon fils fait non seulement partie d'un gang, il se bat, à faillit tuer quelqu'un, et en plus fuit la police! Il haussa la voix.
Et toi, ne fais pas l'innocence, elle s'adresse à Yuna, je vais pas te faire un dessin, vu que tu y étais.
Les deux filles se regardait, dans les yeux. Ma sœur paniquait, les larmes aux yeux, elle tremble.
Crois pas que tu vas avoir un traitement de faveur, juste à cause de ton accident! Continue-t-elle.
S'en est trop, si l'on s'en prend à moi, je m'en fous mais on ne touche pas à ma petite sœur, surtout sur le sujet de son accident, son harcèlement, son séjour à l'hôpital comme de sa relation toxique avec Kaku.
Si justement, elle est encore fragile! M'interposai-je.
Vu la situation, tu n'ai pas vraiment en position d'hausser la voix, c'est clair!? Me rattrapa mon père.
Je vis Yu fondre en larme. Qu'importe la situation, se faire passer un savon ou même pire, ma sœur passe avant. Je la prit dans mes bras sans quitté le regard persant de mon père.
Comment tu pense que l'on va nous voir maintenant? Dit notre mère.
Pour seule réponse, je leva les épaules et bessa les yeux au sol.
Si on l'apprend, nos réputations sont détruitent! Continue-t-elle.
Désolé... Plaça Yuna -toujours dans mes bras- d'une voix tellement faible, limite inaudible.
Depuis combien de temps fais-tu partie de ce "Tokyo Manjika", dit-elle en fesant des guillemets avec ses doigts.
Tokyo Manjikai, la corriga à voix basse.
Alors?! Redemanda-t-elle.
Je sais pas, deux ans...
Un sourire gêner et stresser se glissa sur mes lèvres. Yuna me sera encore plus quand elle entendit mon père me hurle dessus.
S'il-te-plaît, Yuna va dans ta chambre, ne t'inquiètes pas... Lui demandai-je.
Très bonne idée, Yuna dans ta chambre, privé de sortie! Cria mon père.
Elle leva les yeux sur moi, je lui sourit légèrement...
Elle courus jusqu'aux escaliers et fonça dans sa chambre terrifiée. Elle a besoin de soutien, pas de hurlements ni de "privé de sortie".
Quand, mon père entendit la porte de Yu se claqué, il me regarda déçu avant que je sente une douleur énorme à ma joue. Papa venait de me gifler.
•POV YUNA•
Je rentra dans ma chambre, en sanglots, ferma la porte derrière moi et tomba par terre, dos au mur.
En bas, j'entendais des cris, des hurlements et même des coups, ils étaient en train de le frapper et moi j'étais peureuse. Terrifiée, je ne pouvais pas bouger un doigt. Impuissance, je pleure assise par terre.
Et dire, que il y a à peine heures j'étais si heureuse.
