Une année a Hillerska-Young Royals

💫Chapitre 14💫 (Éloïse)

Avant que les cours commencent, moi et Simon, nous nous retrouvons au café étudiant pour discuter. Lorsque nous recevons notre commande respective, le Latino va choisir une table pour qu'on s'y assoie. Installer prêt à discuter, Laeticia arrive en gambadant dans toute la cantine.
-Hallå, s’exclame-t-elle, joyeuse comme je ne l'avais jamais vue auparavant.
-Pourquoi tu souris comme ça ? lui demandais-je, curieuse.
-Tu as l’air sur un petit nuage ! enrichie le boucler.
-Je suis en couple avec Henri !
Mon meilleur ami se lève d'un coup de sa chaise, surpris et heureux de la nouvelle, tout comme moi, évidemment. Laeticia commence, par la suite, à nous raconter en détails le récit de leur soi-disant « union ».
-Et, c'est à ce moment-là que j'ai compris que je n'étais pas là pour du français ! finit-elle par dire, sauf que la cloche retentit, mettant fin à notre discussion.
Moi et le boucler n’avons pas cours aujourd'hui puisque notre journée va être dédiée à la préparation de notre prestation au jubilé. Arriver dans la salle de musique, toute la chorale se positionne correctement dans les rangs. Quand la cloche sonne une deuxième fois, la choriste prend la parole :
-Så under jubileet, jag vill att allt ska vara perferkt förutomkameroma, drottnirgen och kungen själa kommer att vära närvarande så inget misstag kommer att tolercras förstås ? *Alors au cours du jubiler, je veut que tout sois parfait en plus des caméras, la reine et le roi eux même seront présent donc aucune erreurs ne seras tolérer compris ?*
Toutes les personnes présentes acquiescent pour confirmer les propos de l'enseigne puis durant la journée entière, nous nous exerçons durement en quête de la perfection.
Les cours prennent fin alors, nous sortons de la classe, mon meilleur ami aperçoit, au loin, le prince, se dirigeant vers sa case. Le Latino prend peur et s’engouffre dans la bibliothèque pour se cacher. Je le suis un peu sceptique de son plan, quand nous sommes camouflés, je le questionne ouvertement du regard.
-Ne me regarde pas comme si j’avais fait un truc de mal, je ne sais vraiment pas où j’en suis avec lui…
-Je pensais que c’était réglé ? Que vous aviez boum-boum ?
-Ouais, mais… j’avais envie, vraiment en vie, de le faire mais… je ne sais pas si je veux être son secret…
-C’est toi seul qui peux le savoir.
Quand Wilhelm quitte le bâtiment scolaire pour aller manger le repas du soir, Simon me donne enfin le feu vert pour aller porter nos cahiers dans nos cases.
-Mission réussite Sherlock. Nous n'avons pas été détectés par l’ennemie royale, disais-je, amusé.