⏳️Chapitre 16⏳️ (Éloïse)

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(Autrice : Les prochains chapitres sont le fruit de notre imagination, ce n'est pas l'image que nous avons de la saison trois, simplement, nous voulions une fin plus disons, concrète, alors nous avons fait quelques chapitres en plus, bisous !)
Suite au scandale du discours de Wilhelm, la directrice repris parole pour calmer le jeu et rassurer tout le monde en conduisant les spectateurs dans la salle de réception pour le repas de fin de cérémonie. Je prends place entre Simon et Felice. Stella face à moi, Laetica a sa droite et Anastasia a sa gauche.
Je remarque rapidement qu’au loin, la Reine Kristina lance de multiples regards noirs en direction de son fils, Wilhelm, mais la personne qui en souffre le plus est mon meilleur ami qui, lui, ne perçois rien de ce manège. Le boucler est trop sur son petit nuage pour voir ses attaques visuelles.
PDV : Wilhelm
(Pensées de Wilhelm, traduites à des fins pédagogiques)
Pendant l'entièreté du repas, je tente du mieux que je peux d'éviter et d’ignorer les éternels regards assassins de ma sainte mère. Dès que tous ont fini de manger, la directrice, nous demande gentiment de prendre chemin vers la deuxième salle de réceptions pour terminer l'événement sur une note positive. Je ne me fais pas prier et marche d'un pas rapide vers mes amis, ignorant les nombreuses requêtes de Jan-Olof pour avoir une discussion sérieuse avec moi. Ma seule et unique priorité pour le moment : retrouver Simon.
L'habituel bande de fille se trouve dans un coin éloigné de l’immense salle, montrer par Annette quelques minutes auparavant, mais une seule personne attire inévitablement mon attention : Simon. Le petit groupe se trouve dans un débat sur un sujet quelconque, ce qui a pour conséquence de ne pas me faire trop remarquer par le petit comité.
Je prends une grande inspiration puis m'avance tranquillement vers eux. Toutes mes amies me félicitent pour mon courage et je prends vite conscience que le regard de Simon n’est pas sur mes yeux, mais sur mes lèvres. Je vire instantanément rouge vif. Et, de suite, un sourire timide apparait sur nos deux visages.
Sans pouvoir prononcer un seul mot, je fais le même petit signe de tête que le bouclé a fait lorsqu’il voulait me parler avant le fameux jubilé. Il comprend directement ma requête et acquiesce. J'entrelace nos doigts pour le guider vers les dortoirs, plus particulièrement : dans ma chambre.
Une fois entré, Simon s'adosse timidement sur mon bureau. Je m'approche tout aussi timidement en direction du Latino, pour m’arrêter qu’à quelques centimètres de son magnifique corps. J’entrelace de nouveau ses doigts entre les miens puis à ma grande surprise, il se retire pour entourer mon cou de ses petits bras. Perdant mes moyens, je pose prudemment mes paumes sur ses hanches. Pendant quelques secondes, il plonge ses yeux noisette dans mes pupilles et m’embrasse comme si c'était la dernière fois…
-Jag vill inte gömma mig längre, Simon... *Je ne veux plus me cacher, Simon...* chuchotais-je entre deux baisers
PDV : Éloïse
L’année scolaire a malheureusement pris fin suite au jubilé qui fait tant parler. Moi et mes deux meilleures amies sommes partagées entre l'impatience de revoir nos familles et le sentiment de tristesse puisque nous ne révérons plus notre nouvelle, mais très précieuse, bande d’amies de l’été entière.
Bien évidemment, avant de quitter Hillerska pour l’aéroport, c'est avec le sourire que nous fessons nos derniers au revoir à la bande. J’embrasse une ultime fois Stella. Quand je me détache d’elle, Simon me saute dans les bras en disant d’une voix plaignante :
-Tu vas me manquer !
-Toi aussi, tu vas me manquer ! disais-je en le relâchant.
PDV : Laeticia
(Autrice : Ce pdv Laeticia, et comme tous les PDV Laetica, est fait par Poletfrie. Et, elle était légèrement fatiguée lors de son écriture, alors certaine chose son... étrange.)
Après les heures de vol, je suis enfin dans ma province natale, le Québec. Le lendemain, je me réveille me sentant revivre ! Si, nous oublions l’horrible décalage horaire de six heures. Je sors du lit pour m'habiller, j’ai réussi à voler le pull d’Henri avec l’insigne d’Hillerska dessus donc c'est celui que je vais porter avec une jupe m'arrivant au genou. Je redoute un peu le moment où je vais devoir aller rendre le pull à Richard, mais je me sens prête et totalement remise de notre rupture.
Vers deux heures de l’après-midi, j’arrive au point de rendez-vous donner avec mon ex. Au loin, je suis étonné de voir une personne en compagnie de Richard, c'est notre ami commun prénommer Léo. Entre, c'est deux humains, il n’y avait pas beaucoup d’espace et leur main… Ho Shit ! Elles sont entrelacées !
Du calme Laeticia(moi) cela doit être un truc de frérot. J'ai la soudaine idée de leur faire une petite blague donc je m’élance furtivement vers les deux antilopes, sauf que ma blague s'arrête lorsque je surprends une drôle de conversation entre eux :
-Ouais, elle ne doit surtout pas savoir que je l’ai trompé depuis octobre… prononce Richard.
-Ne t'inquiète pas mon lionceau, je garderai tous les secrets du monde pour ton sex… non, pour ton amour… réponds Léo à l'aide d'une voix douce.
-Merci mon aubergine, je t’aime.
Sur ces doux mots, les deux hippopotames s’embrassent langoureusement. Cependant, ma colère prend le dessus et je leur lance le pull en pleine figure tout en m'écriant :
-Ho ! C’est po zenti, je vais le dire à ma mother !
Lorsque les deux jeunes hommes se retourne dans ma direction, dans un synchronisme parfait, je suis déjà en chemin vers la toto-mobile (automobile) de ma mère.
-L’amour, ce n’est pas fait avec amour...
(Autrice : Rebonjour, je sais que certain moment paraisse étrange. Pourtant, j'ai trouvé tout cela très drôle de les laisser. Si vous avez des questions, les commentaires sont ouvert et je me ferais un plaisir de répondre ! )

Une année a Hillerska-Young RoyalsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant