Je me réveillai avec une boule d'appréhension dans l'estomac. Aujourd'hui, je devais me rendre au travail pour prendre en photo les footballeurs du Barça. J'avais une opportunité incroyable devant moi, mais il y avait un détail qui me tracassait : Pablo Gavi.
Hier, lors de notre rencontre mouvementée, Pablo m'avait reproché mon manque de professionnalisme. Ses mots, bien qu'acérés, ne quittaient pas mon esprit. Je m'étais promis de rester calme et de ne pas laisser ses provocations m'affecter. Story de Rosalia :
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Arrivée au travail, je fus accueillie par l'excitation qui régnait dans l'air. Les joueurs s'entraînaient sur le terrain, les préparatifs étaient en cours, et je me préparais mentalement pour la séance photo. Je me dirigeai vers la zone réservée aux photographes, prête à saisir chaque instant.
Et puis, je le vis. Pablo Gavi, entouré de ses amis, arborant ce sourire suffisant qui avait le don de m'agacer. Je sentais déjà la tension monter en moi.
Pablo : Eh bien, bienvenue au Camp Nou, Rosalia. J'espère que tu as amélioré ton professionnalisme depuis notre dernière rencontre.
Je serrai les poings pour me retenir de lui répondre avec autant de mordant qu'il le méritait.
Rosalia : Oh, Pablo, je suis ravie de voir que tu te soucies tant de mon professionnalisme. Peut-être devrais-je te donner des cours sur l'art du journalisme pendant que j'y suis ?
Pablo : Toujours prête à riposter, n'est-ce pas ? Mais je suppose que c'est difficile de se concentrer quand on manque de compétences.
Rosalia : Ah, c'est vrai. C'est pourquoi je suis ici, en tant que photographe professionnelle et journaliste du club, et toi... eh bien, tu es juste ici pour courir derrière un ballon.
Nos échanges acérés étaient empreints d'une tension étrange, d'une taquinerie qui masquait quelque chose de plus profond. Chacun de nos mots était comme un feu qui ravivait la rivalité entre nous, mais aussi cette connexion indéniable.
La séance photo commença et je m'efforçai de me concentrer sur mon travail. J'essayais de bloquer Pablo de mon esprit tout en capturant les moments précieux des footballeurs du Barça. Mais à chaque fois que je sentais son regard sur moi, mon cœur s'emballait.
Pendant que je m'approchais pour prendre une photo, Pablo s'approcha de moi.
Pablo : Tu sais, Rosalia, je dois admettre que tu as un certain talent pour la photographie. Mais ça ne veut pas dire que je vais te laisser prendre toute la lumière.
Rosalia : Oh, crois-moi, Pablo, je n'ai aucune intention de te voler la vedette. Je suis ici pour faire mon travail, pas pour te faire de l'ombre.
Chaque mot, chaque réplique, était imprégné d'une tension électrique. Il y avait quelque chose entre nous, quelque chose qui allait au-delà de la rivalité. Nous étions entraînés dans un jeu dangereux, où nos reproches étaient teintés d'une attirance interdite.
Alors que la séance touchait à sa fin, je me surpris à penser à Pablo différemment. Peut-être que derrière nos provocations se cachait une attirance mutuelle. Peut-être que nos échanges passionnés dissimulaient des sentiments plus profonds, que nous refusions d'admettre.
Xavi : tu veux venir avec nous dîner ce soir au restau ?
Je fus surprise et honorée d'être invitée à dîner avec les footballeurs du FC Barcelone.
Rosalia : oh avec plaisir merci
Le soir, le restaurant était animé, rempli de joueurs renommés comme Xavi, Alejandro Balde, Jules Kounde, Raphinha, Pedri, Robert Lewandowski et bien sûr, Pablo.
Au cours de la soirée, les regards entre Pablo et moi se faisaient de plus en plus insistants, presque magnétiques. Chacun de nos échanges était empreint d'une taquinerie amoureuse, d'une rivalité qui cachait des sentiments plus profonds.
Pablo : Tu sais, Rosalia, je ne comprends pas comment tu peux te comporter ainsi. Tu es si impulsive, si désinvolte.
Rosalia : Et toi, Pablo, tu es toujours là à juger les autres sans jamais regarder tes propres défauts. Tu te caches derrière ton professionnalisme pour éviter de montrer tes véritables émotions.
Pablo : comment ton copain peut il te supporter ?
Rosalia : qui te dis que j'en ai un même ?
Pablo : je sais pas tu as de beau yeux, un beau nez et ta bague j'ai cru que tu étais en couple
Rosalia : je suis flatté
Nos paroles étaient chargées d'une tension inavouée, d'une attirance que nous refusions de reconnaître. Chaque mot prononcé était un reproche voilé, mais nous étions aveugles à l'amour qui se cachait derrière nos disputes.
Au fil des heures, les tensions grandissaient entre les joueurs du Barça. Finalement, une dispute éclata entre Pablo et moi.
Pablo : Rosalia, tu te comportes toujours comme si tu étais la meilleure, comme si personne ne pouvait te surpasser. Tu manques d'humilité.
Rosalia : Et toi, Pablo, tu es tellement obsédé par ta carrière que tu es prêt à tout pour réussir, même si cela signifie écraser les autres. Tu manques d'empathie.
La salle entière était suspendue à nos paroles, mais personne ne semblait se rendre compte de la tension amoureuse qui brûlait entre nous. Nous étions pris dans une danse dangereuse, où nos reproches étaient teintés d'une attirance interdite.
Pablo : Tu ne me comprends pas, Rosalia. Tu ne vois que ce que tu veux voir, sans jamais prendre en compte mes motivations.
Rosalia : Oh, vraiment ? Alors pourquoi ton regard trahit-il tes mots ? Pourquoi nos échanges sont-ils toujours empreints d'une tension si palpable ?
Nous nous fixions intensément, les émotions tumultueuses dansant dans nos yeux. Mais malgré cela, nous ne nous rendions pas compte de l'amour qui grandissait entre nous.
La soirée se termina dans un silence tendu, les regards entre Pablo et moi se faisant plus froids. Nous étions aveugles à l'amour qui se cachait derrière nos disputes, incapables d'admettre la vérité.
En quittant le restaurant, je me demandais si notre relation turbulente pourrait évoluer vers quelque chose de plus profond. Mais pour l'instant, je devais garder mes sentiments sous contrôle et continuer à jouer le jeu de l'ennemi. Les tensions entre Pablo et moi étaient inévitables, mais il nous faudrait du temps pour réaliser la vérité qui brûlait entre nous.
