Kaulitz Devastation [FR]

Chapter-Four, Tom Kaulitz.

merci pr tt vos messages, ça m'a vraiment motivée à fond, j'ai vrm les meilleurs lecteurs vous êtes adorables vraiment argg!♥

Je fus réveillé par Gustav. J'avais très mal dormi cette nuit, le message m'avait vraiment beaucoup angoissée, à tel point que je m'étais recoupée, j'avais craqué. J'avais également vomi deux ou trois fois pendant la nuit, dans la discrétion la plus, extrême évidemment, j'avais peur, si peur que le cauchemar ne prend vie, et je me sentais incapable d'en parler à qui que ce soit, je n'arrivais pas à faire confiance à qui que ce soit, personne.

Il était six-heures du matin, j'avais tant bien que mal réussi à prendre une douche, puis j'avais trouvé des compresses par chance dans la salle de bain.  Je m'étais maquillé, anti-cerne, mascara, eye-liner, pas foiré cette fois et du rouge à lèvre. J'avais par ailleurs tenté de mettre du far marron sur mes yeux, comme l'avait fait la maquilleuse et ça rendait plutôt bien. J'étais habillé d'un tee-shirt noir à manches longues, avec le dos ouvert qui se serrait au niveau de mes reins, et d'un jean large. Gustav avait eu la gentillesse de mettre dans mon sac à main de cours tout le matériel, même si je ne savais à quoi cela allait me servir, j'étais prête. Je descendis avec le sac et je l'ai posé à l'entrée comme celui de Gustav. 

Je me dirigea vers la cuisine, Georg était là avec Aurélien entrain de discuter comme des potes, il n'avait pas de maison ou quoi ? Suite à mon entrée, Georg me salua et Aurélien me proposa du café, j'accepta et le remercia malgré le fait que je n'en avais jamais goûté et je grimaçai face au goût. Ils se mit tout les deux à rire avant de commencer.

-J'avais oublié que tu n'en avais jamais bu, c'est toujours comme ça au début, tu peux le diluer avec du lait et rajouter du sucre si tu veux, dit-il avant de me tendre la bouteille de lait accompagné petit sucre que je plongea dans celui-ci avant de servir le lait.

Nous discutâmes un peu, finalement Georg n'était pas si méchant que je le pensais, même si ses remarques la dernière fois était bof, tout le monde à le droit à une deuxième chance. Gustav nous rejoint alors puis nous décollâmes, je pris mon sac et Gustav le sien et nous sortîmes de la maison tandis qu'Aurélien nous saluait et me souhaitait bonne chance, j'allais en avoir besoin.

Nous montâmes dans la voiture de Gustav, puis il lança la radio, et le début de la fameuse chanson se lança de nouveau.

-C'est pas vrai putain ! dit-il avant de se taper une barre avec Georg.

-Elle commence vraiment à me saouler à force putain, t'en penses quoi Zhora, t'aimes bien ? dit-il tandis que la voiture démarra.

-C'est pas si mauvais, dis-je avant d'esquisser un petit rire.

Nous discutâmes longuement, Georg était définitivement le plus drôle. Même si il faisait parfois des blagues gênantes, ça restait drôle. Nous arrivâmes alors devant le lycée ou des centaines d'étudiants s'y trouvaient, regardant tous la voiture. Je voyais au loin des vans avec des antennes, putain de paparazzis.

-Merde ils sont déjà là.. souffla-Gustav en se détachant une fois garé. 

Nous sortîmes de la voiture et je sentai tout les regards se posé sur nous. Puis des bruits de pas se firent entendre, les révoilà.

-Zhora Kandell ! Zhora !

Nous les ignorâmes puis nous traçâmes dans le bâtiment tandis que les paparazzis nous encerclerait avec leur putain de flash. 

Une fois en sûreté à l'intérieur, je continuai de sentir tous ces regards oppressants sur moi. Ce qui me mît très mal-à-l'aise. Georg nous salua puis rejoignit les autres qui se trouvaient au bout du couloir. Gustav me guida jusqu'à chez le directeur puis me planta là.