Chapter-Nine, Good-Luck Kaulitz.

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Point de vue de Zhora.

J'étais complétement folle, mais j'étais dans un état tellement déplorable que ce n'était pas ça qui allait m'arrêter. 

Suite à mes mots, il tira une latte tout en ne quittant pas mes yeux, puis il sourit.

-Ferme là, c'est ton sang qui m'excite, pas toi.

Putain il est vraiment dérangé ce type.

-Mon sang ?, le défiais-je.

-Tu vois, voir une femme faible, c'est tout ce qui m'a toujours le plus excité, dit-il de manière naturelle.

Putain ne montre pas que ses propos te choquent.

-Donc c'est moi qui t'excite là ? Tu te contred-

Puis je le vis jeter sa cigarette par la fenêtre et plaquer ses lèvres sur les miennes, ma cigarette toujours à la main.

Ce fut si inattendu que je sentis mon ventre se retourner.

Mes pensées allaient trop vite, je me perdais.

-To-, dis-je contre ses lèvres.

-Tais-toi.

Puis il me fit basculer sur lui à l'aide de ses mains qui se trouvaient maintenant sur mes hanches. Il intensifia le baiser en empoignant mes cheveux, de manière à me rapprocher davantage de lui, puis à l'aide l'autre d'empoigner mes fesses.

Normalement, la situation m'aurait mise mal à l'aise, mais j'étais sur le point de mourir alors. La situation ne me préoccupait plus. Je dirai même qu'elle me plaisait.

Je n'étais vraiment pas dans mon état normal. Dire que ce fils de pute m'avait violé de ses doigts il y a à peine deux heures de ça, et que là je prenais plaisir à la situation ?  Bordel. Mais peut-être que si je le séduis, il me laissera enfin tranquille ?

C'est ça la solution.

J'entensifia le baiser à mon tour, puis je le sentis ouvrir la bouche avant de rencontrer ma langue, lors de leurs contacts, elles se mirent à danser naturellement ensemble. Je sentai mon ventre tout retourné, et des frissons parcoururent mon corps tout entier. Il ne me laissait pas insensible. 

Je sentai sa bosse gonfler davantage sous moi, puis, à bout de souffle, nos bouches se quittèrent avant que je ne l'entende grogner.

Une lueur de lumière éclairait la pièce grâce au lampadaire à l'extérieur, j'avais donc vu sur son visage. Et ses yeux, qui me dévoraient. 

Putain, ce n'était sûrement pas la bonne solution.

Il ria face à ma réaction, puis je me détacha de lui avant de reprendre place sur mon lit.

-Les meufs, vous êtes toutes pareilles. 

Puis il se leva, remit ses baskets, et quitta la pièce. 

Putain je hais Tom Kaulitz. 

Il avait gagné à ce jeu là. 

Kaulitz Devastation [FR]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant