Chapter-Seven, Let's Play.

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Jamais de la vie. Jamais.

-Va te faire foutre, crachai-je.

Puis il verouilla la porte derrière lui. Avant de me sauter dessus. 

J'essaya alors de crier, mais la pression de sa main contre ma bouche était bien trop forte.

-Ferme là bordel, laisse moi vérifier, murmura-t'il avant de soulever mon tee-shirt de sa main gauche. 

J'essayai de toutes mes forces de le retenir, mais sans succès, ce mec était bien trop musclé.

-Putain de.. souffla-t'il en constatant une nouvelle cicatrice fraîche.

Il respira un grand coup, tout en maintenant la pression sur ma bouche.

-Qui. 

Putain ferme ta geule fils de pute.

Il retira alors sa main doucement, mais face à son geste, je me mis à crier, mais il replaça sa main violemment où elle était.

-Mmh, pas de problème ma jolie, tu veux jouer ? On va jouer.

C'est alors que sa main libre dériva vers mon entre-jambe, peu à peu, merde, merde, merde.

Je m'étais faite violer des centaines de fois sans me rendre compte que ce n'était pas normal, mais depuis que je le savais, l'idée que cela se reproduise me terrifiait.

Je le suppliai alors du regard, mais le sien était complétement vide. Il ne me lâcha pas des yeux, puis il baissa mon short avant de passer ses doigts sur ma culotte, avant de me sourire malicieusement.

-Qui, ou je te les enfonce, souffla-t-il en se rapprochant dangereusement de mon oreille.

Je ne dirais rien, car si je le dirai, certes cela me débarrasserait de Chelabi, mais  va savoir ce que Tom pourrai lui faire subir et me faire subir après. Garder Chelabi assurerait ma protection.

C'est alors que je senti ses doigts passer sous ma culotte, afin de frôler mon clitoris. Merde, merde.

Puis il sortit ses doigts avant de les humidifier avec de la bave étant donné que je n'étais pas mouillé, puis les enfonça d'un coup sec.

Je grimaça face à son geste, tandis qu'il ne me lâchait toujours pas des yeux.

-Qui.. murmura-t-il en commençant doucement les va-et-viens.

Putain non, il ne fallait pas que je cède.

Il accéléra alors de plus en plus fort en appuyant fort sur ma bouche pour m'éviter de faire du bruit. Même si je pense honnêtement que des adultes arrivent à faire la différence entre des cris de plaisir et des cris de douleur.

Puis je senti son visage s'enfouir dans mon cou lentement, afin d'y déposer ses lèvres et de me mordiller à cet endroit. Putain le fils de pute. 

-Comme ça, il saura que tu es mon territoire maintenant...

Merde, merde.

Mon cutteur, avec lequel je me coupai, se trouvait sous le matelât, je le savais. Peut-être qu'avec un peu de chance, je pourrai le choper..

Il fallait que je sois stratégique bordel, mais ses vrais que ses gestes n'étaient malgré tout pas insensible à mon corps. Contrairement à ceux de Victor, qui eux m'avait toujours donné une boule au ventre, dire que je pensais que c'était ça le plaisir..

Putain j'ai une idée. 

Je me mis alors à me tortiller doucement dans tout les sens, comme si le moment présent me plaisait. Et ce con le remarqua étant donné ses gestes saccadés. Puis, j'enfonça mon regard dans le sien, tout en fronçant les sourcils signe que je prenais du plaisir, et je le vis sourire. Les hommes sont vraiment con. 

Kaulitz Devastation [FR]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant