Kaulitz Devastation [FR]

Chapter-Eight, Survival.

Point de vue de Tom

Cela faisait une bonne heure que je m'étais vidé et que j'avais aperçu Zhora par la fenêtre. Et une bonne heure que je me la mettais à l'alcool avec Georg et Bill dans ma chambre, Gustav était trop occupé à baiser sa pute pour se joindre à nous. 

-Nan en vrai, la Zhora là c'est un petit neuf sur dix... ria-alors Bill.

-Putain t'es malade ? Elle est trop baisable bordel, c'est un dix, voir onze avec son côté psychopathe... Au lit ça doit être une bombe ! s'exclama-alors Georg face à la remarque de Bill.

-Putain imagine t'es entrain de la ken, et là, elle te poignarde genre, c'est pas mon délire personnellement, trop dangereuse pour moi, je te la laisse, reprit-Bill.

Si seulement ils savaient que c'était exactement ce qu'il s'était produit l'heure précédente. Ils n'en reviendraient pas.

-Mais gros, c'est un délire au moins à tester, genre de baiser avec une meuf un peu folle sur les bords, putain moi j'me l'a fais grave, et toi Tom ? dit-il avant de boire une gorgée de sa Heinekein.

-Elle est mignionne, mais sans plus, dis-je ennuyé par la question.

Il ria alors face à ma reflexion.

-Putain de merde tu te l'ai déjà tapé ! dit-il d'un air assuré suivi des rires de Bill, Gustav va te buter, il avait bien préciser de pas la toucher.

Je ria alors, quel bandes de con.

-Ferme t'a geule bordel, c'est pas mon style ce genre de meuf, elle se fait trop désirer, j'ai pas le temps.

Ils rirent alors à gorge déployé, et le rire de Georg me fit rire également.

-Ta geule gros, j'suis sûre que tu l'a baisé la dernière fois quand vous êtes allé dans la chambre ! reprit Georg.

Je n'allais pas me justifier, je savais la vérité, eux non. Cette meuf est mignonne certes, mais je ne coucherai jamais avec une fille comme elle.

D'ailleurs, j'ai un truc à faire.

Je me leva alors sous les regards suspicieux de ces deux bouffons avant de prendre ma veste et de sortir, toujours sous leurs rires.

Je ferma la porte derrière moi, j'avais mon téléphone, des sous, mon flingue et mes clés de voiture.

Les garçons, mis apart Bill était seulement mes potes pour le groupe, on traine ensemble uniquement après les cours lors des répét, et on passe nos soirées ensemble quand les autres ne sont pas dispo. C'étaient mes bouches-trou quoi, et vu que Bill les adorait... J'étais obligé de me les taper.

Je sauta alors au-dessus du portillon de Gustav difficilement, à cause de l'alcool et des anti-douleurs, le mélange me rendait faible, dans les vapes. Je me faufila derrière la maison avant d'entrer dans la cave, qui était toujours ouverte, puis je monta les escaliers afin de me retrouver dans la cuisine. Personne. Je monta alors au premier étage, ou se trouvait les chambres de Gustav et Zhora, leur parents eux, se trouvait au troisième étage.

J'entendis des petits gémissements provenant de la chambre de Gustav, comme je m'en doutais.. Pauvre Zhora.

Puis je tourna doucement la poignée, avant que la porte ne s'ouvre sur elle, endormi sur son lit.

Je referma la porte avant de la verrouiller à double-tour.

J'enleva alors mes baskets avant de m'assoir au pied du lit. Il fallait que je trouve un moyen, un moyen de gagner sa confiance pour qu'elle puisse se donner à moi, et donc pouvoir la rendre aux clients qui ne l'avaient pas obtenu cet après-midi.