C'est l'histoire d'Amaya Takahashi, une jeune femme de 21 ans. Ayant un petit ami trompeur et narcissique, qui a plusieurs dettes à son nom envers les membres du Bonten. Ne voulant pas régler ses dernières, ils ont donc décidé de prendre en otage sa...
Je suis dans ma salle de bain, entrain de me préparer pour aller en soirée avec mes deux meilleures amies Mai et Azumi. Elles ont décidé de m'emmener m'amuser un peut car mon copain est un connard narcissique.
- Amaya, tu es canon dans cette robe ! Dit Mai au téléphone. Dommage que tu sois en couple...
- Tu ne veux pas le quitter sérieusement ? Soupire Azumi. Depuis que vous êtes ensemble, combien de fois il t'a déjà trompé ?
- C'est plus compliqué que ça les filles, je ne peux pas juste le quitter comme ça... me plaignais-je. En plus, c'est un bon coup.
- C'est peut-être un bon coup, mais moi, si mon mec osait aller fourrer sa bite dans une autre, je peux t'assurer que je la lui couperai. Dit Azumi.
- Tes pas en couple à se que je sache. Je ricane.
- Et à ton avis pourquoi ? Demande-t-elle en faisant les gros yeux.
- Parce que de nos jours, tous les mecs sont comme ça ! Finit Mai.
- Vous savez que vous m'énervez quand vous finissez les phrases de l'autre ? Je souffle.
- Nan, ce qui t'énerve, c'est que nous avons raison ! Sourit Mai.
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- Vous ne voulez pas vous poser quelque part ? Demande-je fatiguée. Je ne sens plus mes jambes...
N'ayant pas de réponse, sûrement du au trop plain de bruit, je décide d'aller m'asseoir tant bien que mal quelque part, ayant une grande difficulté à marcher car je dois avoir déjà dépassé le tôt d'alcool autorisé.
- Un verre s'il vous plaît. Baragouinais-je difficilement au serveur.
- Amaya Takahashi ? Demande un homme grand, aux cheveux courts et violets.
- Oui ? Je réponds en tournant la tête difficilement.
- On l'a trouvé. Dit un deuxième homme, un mulet violet sur la tête. Tu viens avec nous.
- Et si j'ai pas envie...? Je rigole, sous l'effet de l'alcool.
Le premier me regarde, les sourcils froncés, un air passablement énervé sur le visage.
- Dommage pour toi, ce n'était pas une question. Dit-il en saisissant fortement mon bras, me faisant descendre immédiatement de mon tabouret.
- Putain, elle est lourde, pourquoi on doit la porter Ran. Se plaint le mulet violet.
- Parce qu'elle a bu comme un trou Rindou. Renchérît ledit Ran.
J'essaye pitoyablement d'appeler mes amies, en vain, alors que ses deux inconnus m'emmènent je ne sais où.
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- Pourquoi elle est dans cet état ? Demande Sanzu alors que nous arrivons à la voiture.
- Elle se bourrait la gueule au bar. Réponds Rindou. Contente toi de démarrer, j'aimerais rentrer.
Nous plaçons Amaya au centre de la banquette arrière, avant que Rindou et moi ne nous installions de chaque côté de cette dernière.
- Vous êtes qui... vous m'emmenez où merde... Demande avec difficulté Amaya. Laissez moi partir...
- J'ai bien peur que ça ne soit impossible ma jolie. Ricane Sanzu au volant.
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- On la mets dans cette chambre. Dis-je à Rindou.
- Une belle chambre, pour une otage. Souffle t-il.
Elle s'est endormie, merde, je vais devoir la porter jusqu'au lit. -
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Je me réveille, là tête lourde, un mal de crâne pas possible, alors que je m'assois comme je le peux sur la surface moelleuse où je me trouve.
- Merde... plus jamais je bois comme ça. Dis-je en passant ma main devant mes yeux.
- T'es enfin réveillée.
Je ne peux m'empêcher de laisser sortir un cri de surprise, en voyant un homme devant moi, à me fixer. C'est qui ce pélo ?
- J'ai faillit faire un arrêt cardiaque bon sang... dis-je en posant ma main gauche sur ma poitrine. Mais vous êtes qui ?! Je demande, prenant conscience que je ne le connais pas. Oh non...me dites pas qu'on a couché ensemble ?
- C'était quoi ce cri ? Entre soudainement un autre homme dans la pièce. Tiens, on dirait une méduse violette.
- Bordel est-ce que quelqu'un va me répondre ? Je demande perdue.
- Pourquoi on doit la garder ici ? On peut pas tout simplement la buter. Se plaint la méduse.
- Hein ?! M'offusque-je
- Rindou, tu sais très bien que non, sinon on n'a plus aucun moyen de pression. Souffle Ran. Eh oui ma jolie, tu vas rester bien sagement avec nous jusqu'à ce que ton « petit ami » nous règle ses dettes. Si il ne le fait pas, je suis désolé de t'apprendre que tu ne sortira pas d'ici vivante.
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