C'est l'histoire d'Amaya Takahashi, une jeune femme de 21 ans. Ayant un petit ami trompeur et narcissique, qui a plusieurs dettes à son nom envers les membres du Bonten. Ne voulant pas régler ses dernières, ils ont donc décidé de prendre en otage sa...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Je viens de sortir de la douche, car oui, j'ai une salle de bain dans ma chambre ? Je me pose vraiment la question, pourquoi m'ont -ils installée dans une chambre aussi luxueuse ? Je suis une otage, moi je pensais que je serais enfermée dans un sous sol, comme dans les films.
Bref, je ne vais certainement pas me plaindre de ça. Je sors alors de la salle de bain, en serviette, pour récupérer mes vêtements.
- Je t'ai apporté ça. Dit la voix de Ran derrière moi me faisant sursauter.
Mais merde, jamais ils frappent ?
- Mais t'es un pnj toi enfaite, c'est pas possible, comme dans les sims ! Je cris.
- Qu'est-ce que tu me baragouine là encore ?
- T'es trop vieux pour connaître. Je dis simplement. C'est quoi ? Demande-je en pointant du doigt le petit peau qu'il tient dans sa main.
- Tu sais pas mon âge, qu'est-ce que tu parles. Dit-il blasé. De la pommade.
- Pourquoi faire ?
Il ne répond pas, et se contente de m'indiquer mon poignet à l'aide de son menton.
- J'en ai pas besoin.
- Bien sur que si.
- Mais t'as quel âge au fait ? Je demande pour changer de sujet.
- Vingt-neuf ans.
Attendez, il a presque trente ans ?!
- Mais tes vieux enfaite, je constate. Moi j'en ai bientôt vingt-deux.
Il ne répond pas mais se contente de me fixer, énervé.
- Je pourrais pas récupérer mon téléphone ? Je me fais vraiment chier, ça fait une semaine que je suis la, et je m'emmerde trop.
- Justement, tu vas venir avec moi et Sanzu aujourd'hui.
-
- On va où ? Je demande curieuse.
- Tais toi un peut tu veux. Dit Sanzu.
Mais ? Pourquoi tant de méchanceté ?
- On est arrivé, dit Ran en venant ouvrir ma portière.
- Galant en plus d'être beau ? Dis-je ironiquement.
- Ne te méprends pas, c'est juste pour que tu ne t'échappe pas, oubli pas, j'ai toujours un flingue sur moi. Dit-il en rapprochant son visage du miens.
- Bon, arrêtez de vous bouffer du regard, venez. S'exaspère Sanzu.
Nous marchons dans une rue piétonne, jusqu'à arriver devant des boutiques ?! On va faire les boutiques ?
