2 juillet 2018

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Cher Journal ,

Si mon passée t'es inconnu c'est normal, je ne me rappelle de rien, du moins de mes 12 ans à mes 20 ans. En effet, disons que mon cas est spécial car mes parents ont, si j'en crois mon oncle, eu un accident de voiture. Et un homme m'aurait sauvé. Je ne sais pas qui car je ne m'en souviens pas. Fin bref, aujourd'hui je suis une française vivant a la Nouvelle Orléans. Une jolie petite brune a la peau blanche, je me rapelle que mon père me comparait a Blanche-Neige, ça me faisait rire. Mais bon aujourd'hui je suis seule, sans parents, sans ma grande soeur de coeur. Je me débrouille quoi !

J'ai rencontrée un homme cet après midi, un blond, d'une trentaine d'années, assez dragueur et baratineur. Il draguait la serveuse ... euh Camí je crois. J'admet ... c'est pas le couteau le plus aiguisé du tiroir mais si on ne se fit qu'à son physique on pourrait croire que il serait l'homme parfait.

Cet homme parfait, j'ai une vague mauvaise impression.... comme si je l'avais connu . Je suis jeune pourtant . Et il ne me donne pas de bons sentiments. Je sais que je doit faire gaffe. Car je contrôle assez mal ma magie. On va dire que je suis un bébé sorcière. Et que lui a l'air mille fois plus mature et expérimenté que moi.

Bref. J'était au bar pour découvrir la ville . J'y ai emménagé récemment et je suis un peu perdu alors bon. Quand je suis arrivée, il était déjà au bar, seul . Et la seule place qui restait était a côté de lui. Ainsi je m'assieds a coté de lui et commandit un mojito . Bah quoi il est 18h c'est l'heure de l'apéro. Il me regardait d'un air bizarre. Comme si il me jugeait . J'admet que ses boucles blondes et ses yeux bleus sont perturbants. Je sirotait mon verre d'apéro quand il prit la parole : "-Une nouvelle dans mon royaume ?
- Votre royaume ? Et le roi porte quel nom alors ?
- Kla.. il s'arrêta. Nik. Nik Mikaelson.
Je le regardait, méfiante.
-Ravie de te rencontrer Nik. Dis-je en souriant.
- Et toi ?
- April.... April Evergarden."
Puis on s'est tue. Il m'a observé pendant quelques minutes. Et je suis partie en oubliant ma veste. Fin bref cher journal. C'est une journée comme une autre.

Rien ne se perd jamaisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant