𝟷𝟻. 「𝚕𝚊 𝚂𝚎𝚌𝚛é𝚝𝚊𝚒𝚛𝚎 𝙾𝚌𝚌𝚊𝚜𝚒𝚘𝚗𝚗𝚎𝚕𝚕𝚎」

350 15 14
                                    


















Tu lances un regard en fronçant des sourcils par dessus tes lunettes anti lumière bleue.

- J'ai toujours mal les deux premiers jours... j'ai du doliprane si tu veux. J'ai des serviettes et tampon aussi, je suis vraiment bien entourée parce qu'on sait jamais quand...

- Merci mais t'inquiètes, Historia. Je vais bien. Et j'espère le rester, souris-tu.

Vous reprenez vos travaux respectifs, mais tu repensais toujours à la scène d'il y a quelques minutes. Ton bas ventre en redemandait encore, et il n'y avait qu'Eren pour le rassasier.




















La journée se finissait assez vite, et l'heure pour toi de rentrer allait s'afficher sur ta montre.
Tu décroises tes jambes qui semblaient légères, puis ranges tes affaires.

Tu sors avant Historia et attends patiemment devant l'ascenseur. Ton esprit était habité par Eren, il avait marqué son territoire et t'avais rendue complètement différente.

Le "bip" de l'ascenseur te fit sortir de tes pensées, indiquant que tu étais arrivé au sous-sol où ta voiture était garée.

Ton téléphone sonne soudainement malgré le manque de réseau dans l'espace sous-terrain, tu le sors aussitôt et réponds.

- Enfin tu réponds putain! tu calcules jamais ton téléphone ou quoi?!

- Putain Ymir arrête de m'appeler sur ce téléphone...

- Quoi?!

- J't'ai dis que... laisse tomber.

Tu raccroche car le manque de réseau rendait votre conversation compliquée, puis tu ranges ton téléphone.


- On te laisse jamais de répit, hyn?

Tu sursaute à l'entente de la voix grave derrière toi.


- T'es vraiment partout, toi...échappes-tu.

- Ouais, vraiment partout pour le coup.


Tu lèves les yeux au ciel puis le brun t'attrape l'avant bras afin de te retenir. Son regard perçait le tiens tandis que sa forte poigne réchauffait tes émotions tantôt enfouies.

- Reiss à rien remarqué? demande-t-il d'une voix plus douce.

- Non, j'ai dû me débrouiller et trouver une excuse. T'as vraiment de la chance parce que si on nous aurait...

- Entre nous deux c'était toi la plus chanceuse.

Tu secoues ton visage, puis baisses les yeux vers son col légèrement déplié. Tes mains, sous son regard qui suivait tes mouvement, remontent jusqu'à son cou puis tirent et plient son col, avant qu'elles ne finissent par glisser le long de l'ouverture de sa veste pour finalement s'arrêter à son torse.

Tu ne pouvais t'empêcher de te mordre la lèvre inférieure en levant tes yeux, puis ancrer ton regard dans son étendue émeraude.

TENTATIONOù les histoires vivent. Découvrez maintenant