𝑸𝒖𝒂𝒕𝒓𝒆 𝒂𝒏𝒔 𝒂𝒖𝒑𝒂𝒓𝒂𝒗𝒂𝒏𝒕.
𝑷𝑫𝑽 𝑨𝒎𝒆́𝒍𝒊𝒔.
Le sol était sale. Très sale. Trop sale.
La poussière nous entourait à perte de vue. Avec un pauvre canapé et à peine 4 autres meubles. Dans ce vieux phare. Au milieu de nul part.
Mon oncle et ma tante m'ont emmener ici à cause de ces lettres.
Nous en avions reçu une.
Puis deux.
Puis une centaine.
Mais n'en avons lu aucune. Mon oncle nous l'interdit. Pourquoi ? Je ne le sais pas.
Ce n'est qu'une lettre. Enfin, pas pour moi. Ni pour mon frère. Jamais je n'ai reçu de lettre auparavant. Et je ne peux pas lire celle que j'ai reçu. Toutes celles que j'ai reçu.
On entendait Mr. Dursley ronflait. L'orage grondait. On aurait dit qu'ils se battaient en duel.
Lequel était le plus fort ?
Dudley dormait sur la canapé à côté de moi, à ma droite. Harry était à ma gauche. Il faisait des dessins dans la poussière.
<<- Amélis ?
Me chuchota-t-il.
- Mmmm...
- Il est quel heure sur la montre de Dursley.
Je jetta un rapide coup d'œil au poignet de mon cousin.
- Il est 23h58.
Harry se reconcentra sur la poussière.
Puis il désigna un gâteau avec des bougies.
Nous étions le 31 août.
C'était notre anniversaire.
Chez les Dursley nous ne le fêtons jamais. C'est comme si je l'oublier parfois. Comme si ça n'avait aucune importance. Comme si nous avions aucune importance.
Nous avions aucune importance.
Pour les Dursley en tout cas. Notre seule famille nous détestait. Alors moi et Harry nous résignons à n'avoir aucune importance, sauf pour nous.
- Et maintenant, quel heure est-il ?
Je scruta une seconde fois la montre de Dudley.
- 00h 00.
Il me regarda dans les yeux, et me prit la main.
- Joyeux anniversaire, Amélis.
- Joyeux anniversaire, Harry.>>
Puis on souffla les bougies. On souffla la poussière.
Elle s'envola.
Et se perdit, parmi tous les autres petits grains.
Et elle disparu.
Comme si elle n'avait jamais existé.
Et un bruit sourd retenti.
Mais je n'avais pas peur.
Comme si je savais que c'était la fin de notre calvaire.
𝐶𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑠𝑖 𝑗'𝑎𝑣𝑎𝑖𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑛𝑒́, 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑣𝑖𝑒 𝑎𝑙𝑙𝑒𝑟 𝑒𝑛𝑓𝑖𝑛 𝑐ℎ𝑎𝑛𝑔𝑒𝑟.
༄༄༄༄༄༄༄༄༄༄༄༄༄༄༄༄༄༄༄༄༄༄༄༄
Une vielle dame nous faisait un discours sur notre rentrée à Poudlard. Sur les différentes maisons qu'il y avait.
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Pathetic.
ФанфикшнAmélis Potter- Ses mots résonnaient dans mon crâne. " En tout cas, moi je ne te verrai jamais comme ça, Amélis." "tu es déjà exceptionnel" "Tu n'as rien à envier à personne" Oh mon dieu, pourquoi tu rends les choses si difficile Drago... Amélis x...
