Je me pend à ton souffle
Comme un secret sur tes lèvres
Murmuré dans le soir
Emmitouflé près du feu
Un secret vivant qui rampe
S'enfuit le long des lames de parquet
Un que l'on ne peux reprendre
Déjà parti dans les fissures du mur
Il n'existe plus que pour nous
Sans preuve sans flamme
Mais dans tes yeux ma cathédrale
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Cri d'un suicidé
ŞiirQuelques poèmes, un peu de graphite et de page froissées. Des larmes, de l'encre, des mots bancales. Une main jeune plus adroite que des cordes vocales. . . . . . . Un peu de Rimbaud, de Pomme, de Baudelaire, de Tamino et de poésie marchombre, broyé...