Lire le mot à la fin ! Important !
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-JULIE ! JULIE ! Reviens bébé !
Il court et attrape la jeune fille par le poignet.
-Julie s'il te plaît...
Elle se dégage de son emprise violemment et lui assène une énorme gifle sur la joue droite. Le jeune homme porte sa main à sa joue et jette un regard assassin à la blonde.
-N'essayes même pas de me retenir, tu ne peux pas effacer ce que tu as fait ! Des larmes coulent des yeux de Julie et viennent s'écraser dans son cou.
-Bébé je ne voulais pas !
-Quelle bonne blague ! Tu ne voulais pas hein ? Tu me fais pitié Thomas. Ne reviens plus jamais ! Elle porte sa main à son cou et arrache la chaîne qu'elle porte puis la laisse tomber par terre.
Thomas suis son geste du regard et quand le collier touche le sol, des larmes embrument ses yeux. Julie se retourne et part sans un mot, sans un adieu.
Le jeune homme tombe à genou devant le bijou et le ramasse, les doigts tremblants. Il caresse la flamme du bout de ses doigts et laisse échapper un sanglot. Il ne peut s'empêcher de se remémorer le moment où il lui a offert ce pendentif : C'était le jour de leur 1 an de relation, il avait choisi une flamme car la phrase favorite de Julie était : "J'ai joué avec le feu, il m'a brûlé les doigts, mais il ne consumera pas l'amour que j'ai pour toi."
Quand Julie l'a surprit avec sa meilleure amie, sa seule réaction à été : "L'amour n'est pas un feu qu'on renferme en une âme : Tout nous trahit, la voix, le silence, les yeux. Et les feux mal couverts n'en éclatent que mieux". Puis elle est simplement repartie, comme si elle n'en avais rien à faire, qu'elle s'y attendait.
Deux mois plus tard, Thomas pensait encore à Julie alors que Julie, elle, sortait avec un homme d'affaire célèbre.
Thomas était jaloux, le nouvel amour de son ancienne petite amie était plus riche, plus célèbre, plus beau, plus musclé, plus drôle, plus heureux que lui. Mais la chose qui le mettait vraiment hors de lui était que cet homme avait Julie, SA Julie. Un soir, il alla à l'appartement de cette dernière et essaya de la récupérer. En vain. Il se mit dans une colère noire, des flammes de haine brûlaient dans ses yeux, et il décida de jouer avec elle... Il savait ce qu'elle aimait, mais aussi ce dont elle avait peur, et il s'avérait qu'une chose correspondait parfaitement à ces deux catégories : Le feu.
PDV DE JULIE
Ce soir, Thomas était venu, il m'aime encore, j'ai pu le voir dans ses yeux. Je lui ai dit que j'avais un homme dans ma vie, que je ne l'aimais plus. J'ai remarqué qu'après cette phrase, quelque chose avait changé en lui, pas quelque chose de flagrant, c'était plutôt dans sa façon de me regarder. Son regard était haineux.
Vers 22h, la température avait augmenté, c'était léger mais quand même perceptible. Je n'y avais pas prêté attention jusqu'à ce que ça en devienne étouffant. Je me lève pour aller vérifier le thermostat du radiateur, il n'a pas changé... Étrange.
-Mattew ? Tu ne trouves pas qu'il fait chaud ici ?
-Toi aussi tu as remarqué alors ! J'a cru que c'était une impression !
-Y'a...Y'a quelque chose qui ne vas pas Matt, ça commence à m'effrayer un peu...
En entrant dans la cuisine, je ne peux réprimer un cri d'effroi, la cuisine toute entière en proie à des flammes ravageuses. Je me précipite dans le salon pour avertir Mattew :
-LE...LE FEU...LE FEU MATT ! DANS LA CUISINE !
-QUOI ?! Mon copain se lève en trombe et se précipite sur la porte pour l'ouvrir, il n'y parvient pas et s'écrie :
-ELLE EST FERMÉE DE L'EXTÉRIEUR !
Plus aucuns moyens de s'échapper, je m'allonge par terre pour respirer l'air qui n'es pas encore envahi par la fumée. Les flammes se propagent vite, plus aucuns moyens de les arrêter, les communications ont été coupées.
Je sens la chaleur monter en moi, il fait plus de 40°C, la fumée gagne du terrain et atteint mes poumons. Je commence à suffoquer. J'avais jusqu'à présent réussi à ne pas hurler mais je ne pus me retenir plus longtemps. Mon pire cauchemar est en train de se réaliser. Mattew me crie des paroles incompréhensibles alors que lui aussi, suffoque. La douleur est presque impossible à décrire quand les flammes viennent me carresser les mollets, je n'ai plus la force de lutter et me laisse donc submerger.
Mais peut importe la douleur que m'infligent les flammes quand je vois mon copain se tordre de douleur alors que son torses enflammé commençait à se consumer à petit feu. Regarder sa moitié partir dans la douleur est la pire mort que l'on peut subir. Je hurle une dernière fois et allonge mon bras pour essayer, en vain, de toucher une dernière fois la main de mon bien aimé.Comment je peux décrire tout ça ? Simplement parce que je suis en vie. Rescapée des flammes de l'enfer, comme si la vie se faisait un malin plaisir à me faire souffrir.
Et toute ma vie je garderai des séquelles de cet "accident" : psychologiques mais aussi physiques car je doit maintenant vivre avec la peau brûlée, les cicatrices, que je vois tout les matins en me regardant dans le miroir."Une fois un feu éteint, les braises continuent de brûler, il suffit d'une étincelle pour que le bucher se rallume et consume les braises, pour n'en laisser qu'un paquet de cendre brûlantes."
#Naocecelol
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Hey, oui je sais ça fait longtemps que je n'ai pas écrit, je ne suis pas du tout régulière dans la parution des chapitres et je m'en excuse...
Vous devez comprendre que mes histoires ne peuvent pas être postées aussi régulièrement que les autres histoires tout simplement parce que je ne choisi pas le thème, on me "l'impose" et c'est plus dur de trouver l'inspiration. J'ai reçu certains messages privés pas très objectifs et insultants envers mon histoire et le rythme de parution, ça à été un coup surtout que c'était la 1ere fois que je recevait ça. Alors je suis désolée, je fais de mon mieux mais m'insulter ne fera pas avancer les choses...
Merci pour celles et ceux qui m'encouragent et qui m'envoient leurs peurs :) je vous fait des gros bisous ♡
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Une peur une histoire.
Horror" La chose martèle une nouvelle fois ma porte et je vois la poignée se tourner tout doucement. Je m'approche de la serrure et y colle mon oeil pour distinguer quelque chose sur mon agresseur. Ce que je vois me fait échapper un cris d'effroi, un oeil...