J'essayais de me remettre peut à peut de mon chagrin d'amour et j'avais décidé aujourd'hui d'aller dans mon "sanctuaire" pour échapper à la dure réalitée de la vie. Je prenais ma voiture et me dirigeais vers ce lieu qui étais tellement cher à mes yeux. Après quelques minutes de voiture je sortais et m'asseyais dans l'herbe fraiche, face à ce grand lac ou des cygnes majestueux glissaient tel une goutte d'eau sur du verre. La douce brise venait caresser mon visage faisant voler mes cheveux derrière moi. Je me croyais dans un rêve. Je sortais mon cahier et me mit à dessiner, la seule activitée qui me fait oublier mon passé, mon présent et mon futur. Ayant fini mon dessin je me relevais pour rentrer chez moi quand j'apperçut un petit renfoncement dans la montagne, intriguée je me dirigeais vers celui-ci et entrait. Une caverne se dessinait devant moi dans la pénombre je sortais mon téléphone de ma poche et l'allumait pour faire un filet de lumière. C'est alors que je remarquais une porte en fer dans le fond de la caverne. Je m'avance prudement et tire sur la poignée. A mon grand étonnement, la porte s'ouvrit et une odeur nauséabonde envahit la pièce. Tenant mon portable bien fermement j'avançais lentement mais surment, je me demandais ce qu'étais cette odeur quand, en parcourant le mur avec le faisceau lumineux je remarqua un interrupteur. Je me dirigeais vers celui-ci pour pouvoir allumer la lumière même si je n'y croyais pas trop. Je l'enclencha et, comme par magie, la lumière s'alluma. Je parcourait donc la pièce et remarquais d'ou venais cette odeur nauséabonde : Un homme, ou plutôt un corps sans vie d'un homme gisait sur le sol. Un cris d'effrois sortis de ma bouche et je remarquais aussi les centaines de milliers d'insectes qui rongeaient le corps jusqu'aux os. Je me précipitais vers la porte qui, par malheur se claqua à cause d'un courant d'air. j'étais coincée dans la même pièce qu'un corps en décomposition... Garder son sang froid et se tenir le plus loins du corp possible le temps que j'appelle les secours. Malheuresement, à force de l'avoir laissé allumé pendant mon exploration, la batterie c'etais déchargée et il s'éteind la, devant mes yeux. La je commençait vraiment à paniquer. Je chassais un ver qui remontais doucement le long de ma jambe, puis deux et quand je levais le regard je pouvais constater qu'une nuée de vers avançaient vers moi. Je hurlais et alla me réfugier dans le coin opposé à la porte.je me laissait glisser contre la surface froide de la pierre et commencait à trembler de tous mes membres, j'ai toujours eu une peur bleue des insectes. quand je relevais la tête, une nuée de mouches, scarabées et j'en passe se concentrais devant moi, prêts à me foncer dessus. Je les regardais paniquée quand le nuage d'insectes vola droit sur moi, et les "armées de terre" avançaient vers mes jambes. Les mouches s'introduisaient dans ma bouches, les vers rongeaient ma peau, c'étais la pire douleur que j'avais jamais connue. Je les sentais descendre doucement dans ma gorge, rentrer dans mon nez, me ronger de l'interieur J'allais mourir à petit feu. Comme cette pauvre personne là bas. Je hurlais à plein poumon, crachais, toussait, mais plus je respirait, plus ils s'enfoncaient loin dans mon corps. C'étais vraiment la pire des fins possible...
#myriam_baril
Désolée si ce chapitre est court mais ce n'est pas facile d'écrire une peur avec des insectes. J'espère que ça vous plaît quand même ! Et un grand MERCI à vous, mes lecteurs. Presque 600 vues WAW !!!!! JE VOUS AIMES !!!!
Fiction à part, je suis directioner et vous avez entendu la rumeur ? Harry veut quitter le groupe à cause de la vidéo avec Louis et Zayn qui consomaient des substences illicites... C'est horrible ! Il ne peut pas les laisser en plan comme ça après 4 ans de succès ! En plus c'est ces meilleurs amis ! Enfin bref... Voila Voila dites moi ce que vous en pensez de tous ça...
BIZOW !!!!
VOUS LISEZ
Une peur une histoire.
Horor" La chose martèle une nouvelle fois ma porte et je vois la poignée se tourner tout doucement. Je m'approche de la serrure et y colle mon oeil pour distinguer quelque chose sur mon agresseur. Ce que je vois me fait échapper un cris d'effroi, un oeil...