part.16

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Je fus réveillé dans une chambre sur un fauteuil, une chambre que je connaissais très bien, celle de l'hôpital où ma mère a passé ses derniers instants. Il faisait froid et sombre, j'observa du coin de l'œil ce fameux lit, et vit une énorme tache de sang sur celui ci, je commença à paniquer mais je n'arrivais pas à détacher mon regard de celui ci, j'étais comme...hypnotisée. J'avançais lentement, très lentement vers le lit ou ma mère a fermé les yeux pour la dernière fois, et lorsque je fu a quelques centimètres j'approcha ma main pour toucher le matelas mais à peine le doigt posé dessus, un énorme bruit me fis sursauter. Je n'es eu le temps de rien faire, que je fu plaqué contre le lit, quand on me retourna de force pour me m'installer dans le lit je vis alors 4 infirmier me tenir les bras et les jambes de force qu'on m'attacha avec des menottes accroché au 4 coins du lit. La seule femme présente en tant qu'infirmière mis un produit dans une seringue, un liquide transparent, je me mis à hurler et à me débattre mais j'étais coincé, je continua jusqu'à ce que je sente l'aiguille dans mon bras. Tou mon corps devint moue , je n'étais plus capable de bouger, les infirmiers quittèrent la pièce et me laissa seule dans cette état sur le lit de ma mère plein de sang. Voulant regarder les menottes accroché à mes pieds je m'aperçus qu'une tache rouge était entrain d'envahir ma tenue blanche. Je mis à paniquer et j'hurla pour que quelqu'un vienne m'aider mais quand je reposa mon regard sur ma blessure je vis alors qu'un poignard avait apparu. J'étais dans l'incompréhension et je fis vite prise d'une crise d'angoisse. Soudain, ma vision ce troubla, ma tête tournais dans tout les sens et des images commençais à apparaître. Je vis tout d'abord la mort de ma mère, puis l'image ce changea pour laisser apparaître le jour ou les Pevensie m'ont abandonné, je secoua ma tête d'un côté et l'image ce changea encore pour que je revive la mort du couple de Sentaure qui ma élevé, leurs regard avant de les laisser tomber...je tourna une nouvelle fois ma tête mais chaque fois un nouveau souvenir remonta, je secouais ma tête dans tout les sens jusqu'à me revoir, torturée ce couteau dans le ventre sans avoir mangé ni bu, menottée au plafond... je me mis à hurler le plus fort que possible et toutes ces images disparue. Je me retrouva encore dans cette même chambre, toujours menottée mais avec plus aucune trace de sang ni de couteau au niveau de mon ventre. J'étais tétanisée, mon cœur battait vite trop vite, les larmes elles ne se s'arrêtaient plus. Tout était calme mais cela n'avait rien d'apaisant au contraire, je vis la porte s'ouvrir lentement, un infirmier suivi d'un homme ou d'une femme dont je ne voyais pas le visage à cause de sa capuche. J'avais peur,  très peur, l'infirmier donna quelques chose à la personne masquée et sorti de la chambre, je paniquais de plus en plus, les larmes beaucoup trop nombreuses pour réussir à avoir une respiration régulière.
- qu'est ce que vous me voulez ?!!
- bah alors poupée, tu ne me reconnais donc pas ? Cette voix me paraissait familière, j'avais un mauvais pressentiment, une chose est sur c'est que  c'est un homme au vu de son timbre de voix.
- n-non...ayant du mal à respirer.
-je vais enlever ma capuche tu comprendras mieux.. au moment où il enleva celle-ci, je le reconnu sur le champs, je fus pétrifiée, mon sang se glaça.
- nan! je vous en supplie, me faite pas de mal ! Il se rapprocha de moi rapidement en même temps que je dis cette phrase.
- aller ma belle soit gentille comme la dernière fois laisse toi faire.
- nan nan nan je vous en supplie arrêtez, je ne veux pas !!!  J'hurlais jusqu'à ne plus respirer tandis que lui commençait à me toucher.
- c'est de ta faute tout ça alors maintenant arrête de bouger.
Je pleurais, je criais de toutes mes forces, je suppliais pour que tout s'arrête, je n'en avais même plus de voix, quand j'entendis une voix qui m'appela. On me secoua l'épaule et je me réveilla par terre, trempée de sueur, je tremblais,et c'est Caspian qui m'a sorti de tout ça. Je ne voulais pas qu'il me touche au vue de ce que je venais de vivre.
- Léana respire, c'était juste un cauchemar ! Ma respiration pris peu à peu forme mais je me mis à pleurer entendant les paroles du roi. Eh eh eh,pleure pas c'est finis, il arriva tout de même à me prendre dans ses bras.
- c'était pas juste un cauchemar cas..toujours entrain de trembler.
- raconte moi qu'est-ce qu'il c'est passé ? Je vis qu'il était vraiment inquiet mais essayait de ce montrer rassurant en employant un ton calme.
- j'ai revu tout les moments les plus dur de ma vie...en commençant par la mort de ma mère j'étais dans la chambre d'hôpital où elle est morte, j'ai revu le jour où  les pevensie m'ont abandonnés, quand le couple de sentaure qui m'a élevée est mort pour essayer de me sauver, quand on m'a torturé et tabassée à la limite de la mort quand je suis arrivé sur l'ile, qu'il ne me donnaient pas à manger ni à boire, que j'étais debout les main menottée au plafond avec un couteau dans le ventre qu'ils me tournaient a  chaque venu dans la cellule où ils me gardaient...et puis...
-puis quoi qu'il s'est passé dis moi ?
- ce- un homme, venu dans ma cellule pour essayer de me me faire craquer d'une autre manière... Caspian me regarda, incompréhensif. Il a commencé par- ma voix se mis aussi à trembler. Me déshabiller et- je ne pu finir ma phrase bien trop dégoûté par ce qu'il m'a fait, dégoûté de moi même, de mon corps salie par les mains d'un homme. Comprenant enfin Caspian me serra plus fort dans ses bras. Je l'ai vu Caspian il a recommencé dans mon cauchemar ! Je pleurais de vive voix, non pas dans le silence, bien trop choqué.
- calme toi c'est fini maintenant...
- putain je me dégoûte ! Je toussais tellement mes pleure coupaient mon souffle.  Il essaya de me réconforter en vains, après trente bonne minutes toujours au sol , dans ses bras ne voulant plus le lâcher de peur de ce qu'il pouvait arriver, je lui est expliqué de a à z, ma vie d'avant, avant que je ne retrouve les Pevensie. Il me caressait les cheveux pour me réconforter et sa voix était calme, tout ce dont j'avais besoin, de lui. Après ça il m'accompagna jusqu'à une autre salle de bain que celle de son ancienne cabine pour ne pas réveiller les filles, au vu de mon état, trempé de sueur, cela me fera le plus grands bien. Cas me rejoint alors dans la salle de bain avec des vêtements propres à lui, les cheveux attachés comme j'aime. Je commença a me regarder dans le miroir ce que le roi remarqua puisqu'il me pris par derrière me tenant par les hanches. Il commença à prendre mon teeshirt, je lui avait parlé de ma cicatrice à cause du couteau.
- je peux ?..j'hocha la tête alors il leva tout doucement pour voir la terreur qui ce cache en dessous. Il l'examina et rabaissa le teeshirt avant de me retourner vers lui. Tu sais que tu es magnifique ? Même avec un milliard de cicatrices ? Je baissa la tête n'étant pas du même avis que lui mais il me releva la tête. Tu ne devrais pas te dégoûter comme tu dis, ce qu'il t'es arrivé c'est horrible, mais c'est en aucun cas de ta faute, et si il le faut j'embrasserai chaque partie de ton corps qu'il a touché, pour plus que tu te dégoûte. Je rigola légèrement a sa remarque. Je suis très sérieux Léana, tu as juste à me le demander et je le ferai, tu es la femme la plus forte que j'ai connue jusqu'ici et même Suzanne ne te dépassera jamais là dessus. Je souris à cette nouvelle remarque. Bon aller va à la douche et après tu me rejoins dans le bureau. D'il en commençant à partir.
- attends..il se retourna vers moi attendant la suite. Reste, je..je veux pas rester seule...
- ...d'accord.
Je lui souris et lui se retourna pour me laisser de l'intimité le temps que je me déshabille. Une fois le rideau de douche fermé, nous discutâmes de tout et de rien, et il fit la même chose qu'au départ pour que je me rhabille sans que je ne luis demande, il est si respectueux et j'aime ça...lorsque j'ai alors finis de me rhabiller, nous retournâmes dans son bureau...

 la disparue de Narnia Où les histoires vivent. Découvrez maintenant