la disparue de Narnia

part.2

étant obligé de rester dans un monde n'étant pas le miens j'ai du me faire a l'idée que j'allais vivre seule, que je ne reverrai jamais ma famille et il fallait donc que j'apprenne a me battre. La nouvelle a été dure a encaisser au début, j'étais anéanti, qu'allait donc penser mon père, ou encore ma tante ou même Eustache, ils ne croiront sûrement pas mes cousins, qui d'ailleurs je considère comme des traitres qui m'ont abandonné. Je devais me faire a ce monde, Narnia, et après quelques semaines a être hébergé par la petite marmotte qui ce nomme chasseur de truffe, après ces semaines que j'ai passé a me morfondre, j'ai réussi a me faire a l'idée que Narnia n'était pas si mal comme monde, après tout, tout le monde rêverait de vivre dans un monde féerique ou la paix règne. Je fu donc renvoyé au château de Cair Paravel, accompagné par chasseur de truffes qui m'y accompagna et je fu adopté par un couples de centaures qui vivaient dans le chateau car Aslan leur a confié la tache de protéger le château. Je grandis alors dans ce chateau, mon père adoptif du nom d'Avaris m'appris a me battre, j'apprenais vite, trop vite car j'étais rongé par la tristesse qui c'était transformé en colère quand j'avais la moindre arme dans les main, mes yeux devenait obscur, je faisait presque peur. En effet, cette colère qui m'incarnait a chaque entraînement était du au faite que l'ont m'avait abandonné ici, que je ne puisse plus voir ma vraie famille et que je sois enfermé la sans aucun retour possible dans mon vraie monde , alors certes j'y vivais très bien, mais ces pensées et cette colère revenait sans cesse et me donnait de la détermination a chaque fois que je me battais. Je ne pouvais qu'accepter de vivre ici et cela j'en voulais aussi a Aslan qui ma lui aussi oublié et laisser tomber. Silène ma mère adoptive quand a elle était douce et faisait de son mieux pour que je grandisse en paix et heureuse malgré tout, c'était un ange et elle me rappelait beaucoup ma mère. je vécu alors 8 ans dans le château et j'avais donc maintenant 16 ans. Entourée de tout les narniens, j'étais en paix et tout le monde me connaissait. j'avais beaucoup appris, je me battais comme une déesse et j'étais l'une des meilleures manieuse d'armes de tout Narnia sans vouloir m'en venter. Je connaissais désormais Narnia comme personne grâce a chasseur de truffes qui ma tout appris sur ce monde, Avaris continuait de m'entraîner ce qui me créa au fur et a mesure ce fort caractère de la jeune femme puissante, déterminée,et courageuse que je suis tandis que silène ma mère me créa ce coté plus doux, a l'écoute, hypersensible, sociable et serviable pour tout les narniens. J'étais en paix, et je pouvais meme dire que j'étais heureuse... jusqu'au jour ou mon peuple fu attaqué et que cair paravel fu enclenché et détruit par des bombardements venant d'un ennemis inconnus. Ce jour la, moi , mon père et tout soldats narniens nous sommes battu pour sauver notre peuple, et ceci jusqu'à la mort... C'est le cas de le dire puisque en essayant de sortir du chateau qui était sur le point de ce détruire avec ma mère, elle reçu un bout de vers pointu venant du toit du château en plein dans le ventre, ne pouvant alors plus bouger.

- Maman !
- Léana...ce n'est rien va t'en...
- nan je ne t'abandonnerais pas ! dis-je les larmes aux yeux.
- si il..il le faut..
- jamais je te laisserai tomber !
- si tu restes ici... c'est le peuple que tu vas abandonner...alors va...en...
- je peux vous sauver tous, je t'en supplie ne t'endors pas ! les larmes coulant sur mes joues
- Léana... tu... as été une fille formidable.. commenca t-elle se mettant elle aussi a pleurer. je suis si fière de ce que tu es devenue.. et je t'aime plus que tout... mais il est temps pour moi de rejoindre le pays d'Aslan...
- nan je t'en supplie reste avec moi...
- Ma chérie, rends moi fière et va sauver ton peuple...

je réfléchis une minute.

- Je te promets de tous les sauver, pour Narnia, je t'aime si fort...
- moi aussi.. ne pleure pas, on se reverra la bas... et en..en attendant je suis la... regardant elle en direction de mon coeur. je sourit faiblement et elle fit de meme. allez ma fille relève toi, tu es une guerrière, bas toi pour Narnia !

je me leva en jetant un dernier coup d'oeil en sa direction et me mis a courir le plus vite possible mais entendis du bruit dans sa direction. je me retourna et vit qu'elle se fit écraser par les mur du chateau qui lui tomba dessus, j'hurlant de tristesse mais celle ci ce transforma en rage et je couru au côté de mon père. mais en arrivant il me regarda les yeux larmoyants.

- Ma chérie..il faut que tu parte !!
- quoi ? mais c'est insensé !! je n'abandonnerais pas mon peuple !!
- il sont trop nombreux pour nous ! et beaucoup mieux armé, nous allons tous mourir si nous ne fuions pas !
- et bien nous serions mort en ayant défendu notre peuple pas en ayant fuis comme de misérable lâche !! ce n'est pas comme ca que tu m'as élevé !
- je sais mais mais la nous n'aurons meme pas le temps de les défendre ! c'est du suicide leana !!
- Mais-
- il n'y a pas de mais !! si tu ne veux pas que tout le peuple de la foret soit tué tu vas faire ce que je te dis d'accord ?! je me tu et écouta ce qu'il avait a me dire.
- bien.. tu vas descendre dans la forêt et prevenir les arbres de cette attaque, pour qu'ils préviennent tout les habitants de ce cacher et de fuir ! tu iras ensuite te cacher chez chasseur de truffes c'est compris ?! je mis quelques secondes avant d'ocher la tête. aller vient par la... je s'enlaça mes une chose me vins a l'esprit.
- et toi ?
- quoi moi ?
- que vas tu faire ?
il ne me répondis pas alors je m'écarta de lui pour voir son visage. Des larmes coulaient sur son visage et je compris ou il voulait en venir.
- nan pas toi non plus...
- comment ca ?..
- maman...
- nan.. me regarda il avec insistance.
- si...
il se tue et je le repris dans mes bras.
- je te promet de me battre pour elle jusqu'à la mort...
- et je te promet de tout faire pour protéger le peuple.
- je t'aime ma fille..
- moi aussi...
nous lâchâmes et après quelques secondes il se mit a crier « pour narnia » alors je fis de meme et parti a dos de mon cheval.