Fleur ( EN PAUSE )

Chapitre 26:

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(Le chapitre n'est pas encore corrigé veuillez êtes indulgent s'il vous plaît)

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Luigi était là. Il est mon pire cauchemar qui à pris vie. Lui qui m'avait fait tant de mal auparavant. Lui qui travaille avec mon géniteur, lui qui m'a touché quand je n'avais que onze ans.

Je suis là, sans être là. Je ne suis plus actrice. Je suis devenu spectatrice de ma propre existence. Comme ce couteau qui s'enfonce petit à petit. Pourtant, je ne cris pas. Je ne ressens aucune douleur. Je n'en ressens plus aucune.

Il n'avais pas de se soucié de moi, pas même un peut. Ne m'avais t'il pas reconnue ? N'avais t'il pas reconnue la personne qu'il avais détruit ?

Il avais vieilli, des cheveux blancs, des rides. Il était vieux. N'avais t'il pas honte de ses actes ? N'avais t'il pas conscience de la gravité des chose ? Avais t'il commis cette acte barbare avec d'autre jeune fille ? Y'avait t'il d'autre victime comme moi ?

Des milliers de questions me trotte la tête mais cela fus vite arrêter par Carlos qui me tira vers lui pour le rejoindre. Il disparaît alors très vite de ma champ de vision.

Luigi était là.

-Fleur ne me lâche surtout pas la main ! , me préviens Carlos en criant dans tous ce brouhaha

Je ne comptais pas le faire de toute manière. Pas tant que ce pédophile était dans les parage.

Carlos pousse tout le monde avais peu de difficulté grâce à son gabarit plus ou moins imposant. Tout comme son cousin, la seul différence entre ces deux était leurs couleur de cheveux, Léonardo était brun tant dis que Carlos était blond.

Âpre un long moment de bousculade ont arrive devant les deux voiture qui attendaient un signe de départ. Je regarde plus attentivement les voiture et remarque que Léo était dans l'une d'entre elles.

Il allait conduire. Il allait se mettre en danger stupidement.

-Carlos fait quelque chose là il va faire une connerie !

-Fleur, je crois que là c'est trop tard

A peine sa phrase terminer que le feu se déclenche. Instantanément les deux voitures se mettent à accélérer dont celle de Léonardo.

La nuit était sombre, éclairée seulement par les lumières des lampadaires qui scintillaient le long de la rue déserte. Je me tenait là, sur le bord de la route, le regard fixé sur la course de voiture illégale qui se déroulait devant moi. Mon cœur battait la chamade, mêlant l'excitation et la peur. J'observait Léonardo, avec des yeux emplis d'inquiétude et d'amour. Son visage reflétait l'adrénaline qui parcourait ses veines, et ses doigts se serraient sur le rebord de sa veste, signe de son anxiété.

J' était consciente des risques de cette course, mais je ne pouvait m'empêcher d'être captivée par la détermination de Léonardo, par la façon dont il maîtrisait chaque virage avec une précision presque surnaturelle. Les moteurs rugissaient, les pneus crissaient sur le bitume, et la vitesse les emportait dans une danse dangereuse. J'était partagée entre la fierté de voir Léo braver les limites et la peur de le voir se mettre en danger. Je savait que cette course était interdite, mais je ne pouvait m'empêcher de ressentir une certaine fascination pour cet univers clandestin.