Fleur ( EN PAUSE )

Chapitre 32:

Léonardo :

Je n'est rien pu fais, rien. Je n'est pas su protéger la femme pour laquelle mon cœur battait, la femme que j'aimais par dessus tout.

Ma Fleur. La mienne.

J'ai honte, honte de n'avoir pas remarqué tous ce qu'il ce passait dans sa vie c'est dernier temps. Honte de dire que je l'aime alors que le simple fais qu'elle n'étais pas bien ne m'étais pas venue à l'esprit.

Elle était au plus mal de son être, ces messages lui on donner la nausée, la fatigue, la mal être. Et tout ça elle a dû l'endurer seul. Sans personne pour l'aider à se relever.

Ce soir, là, je ne voyais rien juste l'envie d'enlever sa vie en être humain comme lui ne devrait pas être en vie. Un monstre comme lui n'a aucune place sur cette terre. Comment a-t-il pu oser poser la main sur une femme telle que Fleur ? Aucune autre femme ne devrait être traité ou subir de telles horreurs.

Je me suis juré que le jour où j'obtiendrai un fils, ce dernier aura l'éducation la plus strictement possible, afin qu'il apprenne le respect envers les femmes, qu'elle soit bonne ou mauvaise.

Personne ne mérite cela !

J'ai passé le reste de la journée en compagnie de Carlos, qui a essayé de me dissuader, d'aller voir cet enfoiré. À la place de créer plus de problèmes qu'il y en avait déjà. On s'est rendu à un endroit où on était pas y aller depuis un certain temps.

Entre retour retour à la maison, je me suis directement enfermé dans le bureau et six de canaliser ma colère et toutes les émotions qui s'en suivent . Fleur ne doit en aucun cas, savoir ce qu'il se passait ou même l'endroit nous nous sommes rendus avec mon cousin. Du moins pas maintenant pas dans une telle situation.

Le soleil, c'était à présent levé. J'ouvre le rideau de mon bureau admirant la neige tomber sur l'herbe du jardin, mes hommes, toujours dehors, la maison replonge dans un calme inquiétant.

Après une nuit passée dans ce bureau, je décide enfin ouvrir la porte et sortir de cette pièce. Je marche jusqu'à arriver au salon où je retrouve Fleur, sur le canapé, endormi. Carlos m'avait prévenu il y a trois heures qu'il devait partir pour voir Ava.

Je reste planté là, à admirer la belle brune qui était endormi tel un ange, sur le canapé du salon. Elle a l'air tellement innocente et naïve. Étonnant dire, mais même dans son sommeil, elle a un sourire. Cette femme mérite plus que n'importe qui d'avoir une vie paisible et sans problème.

Voyant qu'elle  n'a rien sur elle, je décide d'aller chercher un plaide afin de lui mettre sur son corps pour qu'elle n'attrape pas froid. Arrivée de nouveau au salon, j'ouvre le plaide et lui pose des délicatement dessus pour ne pas la réveiller. Mais apparemment cela n'a pas marché, car fleur se réveille doucement. Ses yeux fixant les miens, ses ses mains tenant mes mains, elle était parfaite.

Cette femme me rend dingue, putain de dingue.

-Léo, tout va bien? Me demande-t-elle d'une voix angélique.

-Oui mio amore ne t'inquiète pas, je ne voulais pas te réveiller, allez, rendors-toi il est encore tôt.

À l'instant je voulais repartir, elle m'attrape pas la main gauche, ce qui stoppa tous mes mouvements.

-Alors, rester ici, avec moi s'il te plaît.

Sans regard me supplier de rester, alors j'exécute et m'installe près d'elle entourant mes bras autour de ses hanches pour pouvoir rapprocher son corps du mien. Elle posait alors sa tête sur mon torse ainsi que ses mains. Je prends le plaide avec mon autre bras de libre et le place sur son corps bien trop petit à côté du mien. Je baisse la tête pour humée son odeur divine.