Chapitre 11 : C'était mon but

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Le lendemain Haru arriva en cours moins motivé que la veille mais toujours décider à remplir son objectif ardue. Natsu ne parla pas de ce qu'il c'était passé il y a deux jours mais on voyait toujours une certaine gène, Haru nota cela comme une progression en plus Natsu était toujours gêné quand il parlait de ses sentiments. Korin vint leur parler contrairement à la veille et il révisèrent encore leur texte de théâtre, c'était leur seule occupation quand elle était avec eux. Aussi, quand elle partit Haru comme Natsu soupirèrent de soulagement ce qui les fait beaucoup rire.

-Dis Haru, à propos de....

-Quoi donc ? Dit précipitamment Haru en fronçant les sourcils.

-De...la pièce de théâtre tu ne dois pas être trop à l'aise vu que tu connais déjà ton texte. Tu risques de te tromper avec celui de Korin, vu comment elle crie. se rattrapa-t-il.

Ce moment plut un peu à Haru car il voyait bien que Natsu ne parlerait plus de leur numéro avec le temps.

Le reste de la semaine se passa sans accroc et Haru rentrait tous les jours chez lui heureux de son avancée. Ainsi le vendredi arriva, pour Haru la fin de la semaine lui annonçait la fin de l'incident de lundi. Le dernier cours, la dernière professeur et enfin la dernière sonnerie. Les élèves sortirent et Haru fut le dernier à sortir, le dernier ? Non. Natsu traînait pour ranger ses affaires et alors qu'il était sur le point de partir :

-Haru...Je...Je dois te parler...

Haru fit la sourde oreille et se dépêcha de le dépasser.

Natsu s'arrêta dans l'encadrement de la sortie et retint Haru par sa veste.

-Mmh ? Qu'est-ce qu'il y a ? demanda Haru en se retournant comme s'il n'avait rien entendu.

Natsu le lâcha et baissa les yeux, gêné comme à son habitude quand il parlait de ses sentiments, cett attitude commençait à inquiéter Haru, avant de lui dire :

-En...En fait...Je pense que tu me plais ! Voir ton numéro m'en a donné la confirmation ! (ouais non mec reparle pas du numéro)

Dehors la pluie avaient commencé à marteler le sol avec rage tandis que les deux garçons se tenaient dans l'encadrement de la porte.


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