L'homme mangeur de femmes

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« Les femmes sont faites pour être mangées. Épicées »
Leonard de Vinci ou P.Diddy

En montant dans le tracteur, un frisson d'anticipation malsaine parcourait mon corps. Le domaine s'étendait devant moi, vaste et inhospitalier, un territoire où la cruauté était reine. Les femmes, nues et tremblantes, couraient à travers les champs, leurs cris déchirants se mêlant au rugissement du moteur. Je les pourchassais, leur peur se déversant dans chaque cri, chaque mouvement frénétique. Leurs corps, exposés aux intempéries, étaient recouverts de boue et de sueur, leurs jambes ensanglantées par les épines et les débris du sol.

Je me délectais de cette poursuite brutale, savourant chaque instant de leur désespoir. Leurs yeux, écarquillés par la terreur, reflétaient une souffrance que je prenais plaisir à infliger. Quand j'en attrapais une, je la tirais violemment, la soulevant par les cheveux ou les poignets. Ses supplications devenaient une symphonie lugubre pour moi. "Ne vous inquiétez pas," disais-je d'une voix feinte de douceur, "je vais vous prendre soin." Mon ton était empreint de sarcasme, une ironie mordante, alors que je maintenais fermement ses bras derrière son dos.

Les femmes étaient traînées, enchaînées par des cordes qui déchiraient leur peau. Chaque mouvement, chaque tentative d'évasion, était récompensé par des coups de fouet ou des décharges électriques, que j'administrais avec une précision sadique. Je les enfermais dans des cages étroites, leur offrant à peine de place pour se tenir debout. Leurs hurlements de douleur résonnaient dans le domaine, amplifiés par les échos des murs de fer.

Quand je décidais que le moment était venu, je les sortais de ces cages, leur offrant un dernier spectacle de cruauté. Leurs corps, déjà épuisés et meurtris, étaient alors soumis à des tortures additionnelles. Je les accrochais par les poignets et les laissais pendre, leur corps battant contre le sol, tandis que je les bombarde de balles pour les blesser sans les tuer immédiatement. Le plaisir de leur agonie était amplifié par leurs cris de douleur, les supplications s'entremêlant avec les détonations.

Finalement, je les exécutais d'une balle dans la tête, un geste clinique qui mettait fin à leur souffrance. Je les laissais là, abandonnées dans une scène de carnage macabre. Les corps sans vie étaient ensuite traînés derrière le tracteur, déposés comme des trophées dans un coin de la propriété. Les lambeaux de leurs vêtements et les traces de leur sang sur le sol étaient des témoins silencieux de l'horreur que j'avais orchestrée.

En contemplant le champ de dévastation que j'avais laissé derrière moi, je ressentais une satisfaction glaciale. Le domaine était devenu un cimetière de souffrances, un monument à ma cruauté, chaque détail de la scène renforçant la puissance de mon contrôle sur leur destin. Leur agonie, si vivante dans mes souvenirs, était la preuve incontestable de ma domination, un spectacle que je chérissais avec une perversité Indescriptible

Une fois les corps abandonnés, je m'attardai sur la scène de carnage avec un regard froid et implacable. Le domaine était devenu un véritable champ de désolation. Les femmes, dont les cris avaient résonné dans l'air, étaient maintenant étendues sans vie, leurs corps dénudés parsemant le sol comme des poupées brisées. Les traces de sang et les débris déchiquetés de leurs vêtements étaient des témoins silencieux de la violence qui avait eu lieu.

Je me déplaçais parmi les cadavres avec une lenteur calculée, savourant chaque détail de la scène. Leurs visages, figés dans des expressions de terreur et de douleur, étaient des masques de l'horreur que j'avais infligée. Je les examinai de près, me délectant des marques de violence que j'avais laissées derrière moi. Leurs membres étaient contusionnés, leurs peaux déchirées par les chaînes et les coups. Chaque coup de fouet, chaque décharge électrique était visible dans les marques brulantes et les hématomes.

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