Étoiles Vagabondes

capítulo V

"L'ami, si tu souffres, le temps maquillera les cicatrices."
Nekfeu.

☆☆☆☆

Aria
Le soir.
Barcelona, Espagne.

- idiot ! Tu m'as limite oublié au lycée.

Mon frère rigole face à ma remarque.

Ça y est, il était enfin venu me chercher après trois heures chez Lamine.

- Tu veux boire un truc ? Demande Lamine à mon frère.

- non merci, on va rentrer, j'ai encore pas mal de choses à faire, en tout cas c'est sympa pour Aria, merci ! Répond-t-il.

- vous inquiétez pas, ça me fait plaisir ! Dit-il.

Je lui souris.

- bon, à demain frérot ! Tu viens demain hein ? Dit mon frère.

- Évidemment ! Et Aria, je ne sais pas quand on se verra, mais à la prochaine. Dit Lamine en me souriant.

- A demain Lamine ! Dis-je en souriant aussi.

- mais non tu viens ? Dit-il, content.

- oui, prépare toi à me voir souvent, moi aussi j'ai un emploi du temps préparé. Dis-je suivie d'un clin d'œil.

- Putain c'est trop bien ! Dit-il en me faisant un câlin. Je suis trop content princesse. Me glisse-t-il dans l'oreille.

Je lui fais un bisou sur la joue, c'est comme ça, c'est notre relation, on est super proche.

- Vous ne voulez pas vous embrasser tant que vous y êtes ? Dit mon frère. Et puis Lamine attention avec les gros mots.

- d'accord père. Dit-il en se séparant de moi. Et pour le bisou, je ne manquerais pas l'occasion.

Mon frère le fusille du regard, ce qu'il me fait rire.

- aller on y va ! Dit mon frère enjoueux.

- oui ! Merci beaucoup Lamine ! Dis-je une nouvelle fois.

- ça me fait plaisir Princesse. Dit Lamine.

Ce n'est que quelques secondes après qu'il se rend compte qu'il m'a appelé Princesse devant mon frère, et sa réaction me fait bien rire. Il était gêné, alors je lui ai déposé un nouveau baiser sur sa joue et nous sommes parti.

Dans la voiture, mon frère avait l'air tout content, pour je ne sais qu'elle raison.

- pourquoi es-tu si content ? Demandai-je. Tu souris comme un idiot.

- Je suis content pour toi et Lamine, je veux dire, je pense qu'il te rend réellement heureuse et c'est tout ce qu'il compte. Puis, tu sais que je le valide hein. Finit-il par me dire en souriant encore.