Étoiles Vagabondes

capítulo VIII

"Parfois j'ai peur de blesser les gens alors j'réagit lâchement"
Nekfeu

☆☆☆
Aria
Cadix

Les garçons s'entraînaient avant le match qui arrivait dans quelques heures.
L'après midi est passé vite. D'abord on a fait un baby foot puis nous sommes montés en haut avec Lamine, nous nous sommes installés dans ma chambre et il a fini par s'endormir.

- Princesse, Princesse, viens voir ! Dit Lamine en me tendant le bras.

Je lui prend la main et je le suis dans un endroit encore inconnu.

- J'ai une surprise pour toi ! Ferme les yeux.

- Non, je n'aime pas les surprises Lamine, ça me fait peur. Lui dis-je.

- Fais moi confiance !

Je cède et ferme les yeux. Il met une main sur mes yeux et me tient le bras.

- Je te guide t'inquiète pas.

Il ouvre une porte, j'avance un peu et finalement il me lâche.

- Tu peux ouvrir ! Dit-il confiant.

J'ouvre les yeux et je le vois avec un maillot du barca à la main.

- Tadam ! Je te présente ton nouveau super maillot, floqué avec le nom de ton joueur préféré ! Dit-il en me tendant le maillot.

- Il est magnifique Lamine ! Merci, je vais le mettre.

Je me retourne, enleve mon ancien maillot pour mettre mon nouveau. Je me retourne et fais le modèle.

- Il te va terriblement bien ! Dit-il en souriant. Alors tu aimes la surprise ?

- Je l'adore, mais de là à me faire fermer les yeux, je trouve ça un peu exagéré Lamine... Dis-je en me rapprochant de lui. Mais j'adore ta surprise.

Je le prend dans mes bras.

- Ça me fait plaisir quand tu souris !

Je lui fais un bisou sur la joue.

- Et moi ça me fait plaisir de porter ton nom et prénom dans mon dos.

Il me sourit et me fait un clin d'œil.

- Quel loveur. Me moquais-je en roulant des yeux.

- Tu es fan de moi Princesse, ne l'oublie pas. Dit-il en m'envoyant un baiser volé.

Je rigole et nous finissons par rejoindre les autres.

- Aria ! Qu'est-ce qu'il est moche ton maillot ! Dit Pablo en secouant sa main.

Lamine et moi lui levons notre majeur en même temps, ce qui nous agite fortement et qui nous fait sauter partout, nous nous tchekant de notre tcheke habituel.