SECRET LOVE

❀ Chapitre 23 ❀

Salut ! Petit NDA simplement pour vous dire que ce chapitre est la suite du 22, comme pour le 19, j'ai été obligé de le couper sinon il aurait été trop long.

Sur ce, bonne lecture mes stars !!

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~Soirée mouvementée~

« Je lève mon verre dans sa direction avec un clin d'œil, elle roule des yeux pour toute réponse mais après quelques secondes, ses sourcils se froncent. Je ne comprends pas bien ce qu'il lui prend au premier abord mais en tournant la tête, je trouve ma réponse. »

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Aria Hamilton

Le vent frais me fait frissonner. Je tremble de toutes les parcelles de mon corps. Je peux me convaincre comme je veux, je sais bien que ce n'est pas la froideur de la température qui me provoque cette chair de poule, mais bien la peur qui d'ailleurs, me noue les tripes.

Je me tripote les doigts pour me détendre mais de toute évidence, ça ne fonctionne pas. Je suis bien trop crispée et mes mains sont moites pourtant, je ne perds pas la face et me tiens droite comme un piquet devant la porte d'entrée de la boîte de nuit.

Je ne sais pas ce qu'on attend mais intérieurement, je remercie Ezio de ne pas bouger. Il me faut encore un peu de temps pour assimiler ce qu'il risque de se passer. Que va-t-il me faire faire.

Peut-être qu'il va me demander de cacher un corps ?

Ou peut-être va-t-il me demander de tuer une personne ?

Bon sang, je crois ne pas être prête !

Un sursaut violent me prend quand je sans quelque chose se poser sur mon épaule mais je me calme quand je me rends compte que ce n'est que la main de mon ami. Je me tourne vers lui alors instinctivement, mes yeux cherchent du soutien dans les siens.

Il me sourit affectueusement et se penche vers mon oreille en murmurant d'une voix douce :

- Eh, tu sais, mon cousin nous attend depuis au moins dix minutes mais je préfère attendre que tu ailles mieux alors si tu ne t'en sens pas capable, tu peux arrêter ou remettre ça à plus tard.

Une boule se fait ressentir dans ma gorge alors que je me rends compte qu'encore une fois, je suis faible et inutile.

Non, plus jamais. Je me suis promis de ne plus jamais me laisser marcher sur les pieds.

Je peux, non, je vais le faire.

Je relâche mes mains et me redresse et c'est la tête haute que je me tourne vers Ezio.

- Allons-y que j'aille montrer à ton connard de cousin de quel bois je me chauffe. Annonçais-je durement avec un sourire fière collé à la face.

Sourire qui, en réalité, cache toute la peur que m'inspire l'idée de, ne serait-ce, que voir de la drogue.

Mon ami se met à sourire amusé et hoche la tête. Il attrape ma main et affirme avant de me trainer derrière la boîte de nuit :