Précédemment :
Soudain, il m'a pris dans ses bras sans que je m'y attende, et j'ai ressenti un grand réconfort. Nous sommes restés ainsi quelques minutes, jusqu'à ce que...
?? : Ahahaha je vous ai eu en plein grand délit. *Bruit de photo*.
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🎀 Bonne lecture mes starlettes 🎀
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Il s'agissait d'une voix féminine, vêtue entièrement de noir, dissimulée sous une cagoule et une capuche. Qui pourrait bien être cette personne ? Peut-être Fouzia, Nehyla ou Carmen ?
Cependant, il semble improbable que ce soit l'une d'entre elles, car cette personne était nettement plus grande et avait la voix d'une femme d'âge mûr. Pourrait-il s'agir de Caroline ou Clara ? J'en doute, cela ne semblait pas correspondre à leur profil.
Nahyl : T'est qui toi encore ?
Fille : Je ne sais pas.
Moi : Comment ça, tu ne sais pas, t'es qui ? Tu es une fille à ce que je vois.
Fille : Non, je me sens non binaire.
Nahyl : Wesh ? Ze3ma, tu t'sens arbre ou camion ? Styler en sah.
MAIS CALMER LE.
Fille : Voilà, tu as tout compris. Mohim, revenons à notre vraie discussion. Donc, j'ai pris cette photo et j'en prendrai d'autres à mon avis. Mais si vous faites une chose de travers, on n'hésitera pas à envoyer à votre famille les photos.
Moi : Euh, d'accord... Et pourquoi tu as dit « ont » ? Tu es seule là, ma belle.
Fille : Évite le ma belle déjà, je suis dans un gang de mafia en Espagne, dont l'ennemi du gang à ton frère, donc bon. Ah oui, et Nahyl ceci est l'idée d'Ayoub. Aller, bye bye. *Sourire*
La fille s'en est allée avec son sourire hypocrite. Qu'elle dégage cette crasseuse. J'ai vu Nahyl serrer les poings. Est-ce encore Ayoub ? Leur ennemie habituelle.
J'ai remarqué qu'il a sorti son téléphone pour appeler mon frère.
Nahyl : Ouais, allo. Ayoub le zemel là, il nous a menacé et ça veut dire qu'il va revenir, hein. Ouais, je sais. Bref Salem. *Raccroche*.
Moi : Je vais rentrer moi...
Nahyl : Ouais rentre et envoie un message quand t'es rentrée. *Sec et regard de travers*
Retour de Nahyl le bipolaire...
Lorsque je suis arrivée chez moi, j'ai été accueillie par la vue d'une assemblée de personnes dans le salon, qui n'étaient pas les proches habituels de ma mère, mais plutôt ceux de Yanis et Bilal.
Bilal : Ah, pas elle. Dégage de la toi, grosse p*te va.
Moi : Tu as fini de m'insulter ? Tous les jours, au bout d'un moment, change de disque, je ne sais pas moi, mais là, c'est bon, on souffle.
Rayan : Bien vu, tchèque moi ça cousine.
On connaît la situation, ensuite Bilal nous a lancé un regard désobligeant, que cherche-t-il ? Il cherche à se donner des airs de caïd du quartier alors qu'il a atteint l'âge de 50 ans, le vénérable.
Yanis : Nan sah dégage d'la vraiment, on va faire un truc, ça te regarde même pas un peu. Va chez khalti Housnia ou khalti Rahma, mais dégage w'الله.
Je me suis retirée, car je ne vais pas vous mentir, j'ai clairement peur de mon frère et de Bilal maintenant, alors que ce n'était pas le cas avant, mais depuis hier, malheureusement, ils ne m'approchent plus jamais.
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𝐈𝐥𝐲𝐚𝐧𝐚 : « L'énigme du coeur »
Romance« 𝐂𝐡𝐚𝐪𝐮𝐞 𝐫𝐨𝐬𝐞 𝐥𝐚𝐢𝐬𝐬𝐞 𝐮𝐧𝐞 𝐞́𝐩𝐢𝐧𝐞 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐦𝐨𝐧 𝐜œ𝐮𝐫, 𝐫𝐚𝐩𝐩𝐞𝐥𝐚𝐧𝐭 𝐥𝐚 𝐝𝐨𝐮𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐬𝐨𝐮𝐯𝐞𝐧𝐢𝐫𝐬 𝐟𝐚𝐧𝐞́𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐦𝐞𝐬𝐬𝐞𝐬 𝐛𝐫𝐢𝐬𝐞́𝐞𝐬 ». 𝑪𝒉𝒓𝒐𝒏𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒓𝒆́𝒆𝒍 𝒂𝒗𝒆𝒄 𝒑�...