Chapitre 18

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Précédemment :

Les coups de feu résonnaient, mais je n'y prêtais pas attention, le temps pressait. Je filais à toute allure quand, brusquement, je percute quelqu'un et m'effondre sur lui.

Je l'ai regardé, la gêne m'envahissant.

C'était Nahyl.
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{...}

Moi : Euh... Désolé, je n'ai pas fait exprès.

Je me sentais extrêmement embarrassée, d'autant plus qu'il m'a dévisagée avec une sévérité déconcertante.

Il semble être coutumier de lancer des regards désobligeants, cet individu.

Nahyl : Vas-y, dégage d'la. *Sec*

Je me suis engagée sur le sentier en quête de retrouver Dhekra. J'ai perçu des pas résonnant derrière moi, indubitablement les siens. Son dessein m'échappe totalement.

Quelques instants plus tard...

J'ai rejoint Fedoua, Dhekra et Amel. Nous nous apprêtions à nous diriger vers la sortie du gang, une attente prolongée. De surcroît, une atmosphère empreinte d'une angoisse palpable...

Amel : Venaient les filles, passaient juste par là et on est enfin arrivé à la sortie.

Dhekra : Al Hadoulillah !

Ça, tu peux le dire.

Quelques instants plus tard, nous avons enfin atteint cette célèbre trappe, puis nous avons émergé. Nous nous sommes retrouvées dans une espèce de jardin.

Amel : Suivez-moi maintenant.

Nous l'avons accompagné et juste avant de procéder, je me suis retournée et à ma grande surprise, j'ai aperçu un individu armé d'un couteau. Bien que je n'y aie pas accordé plus d'attention, je m'apprêtais néanmoins à en informer mes compagnes.

Elles étaient en train de s'amuser, je ne souhaitais pas rompre cette atmosphère joviale, mais il était impératif que je leur fasse part de la situation.

Moi : Euh... Les filles, ce n'est pas pour casser l'ambiance, mais j'ai vu un mec avec un couteau là-haut.

Et là, le mec est sorti d'un buisson, il a commencé à courir comme un cheval...

Amel : Vite, venez !

On est montées dans une voiture sortie de nulle part.

Fedoua : Mais tu n'as pas le permis ?

Amel : T'inquiète, je gère.

J'ai jeté un coup d'œil en arrière, et nous avons constaté qu'un nombre considérable de véhicules nous suivaient.

Quand je dis considérable, je veux dire une quantité véritablement impressionnante, soit une dizaine de voitures.

Dhekra : On est dans la me*de là.

Amel : Ne vous inquiétez pas.

Elle a sorti des armes, puis elle a tiré sur les voitures, la moitié ont explosé.

Amel : Dhekra tien le volant, s'il te plait. Je vais monter sur le toit et je vais leur tirer dessus. De toute façon, ce n'est pas un meurtre, vu que les gens ne meurent pas. Fin si, mais ce n'est pas ma faute si leurs voitures ne sont pas solides et qu'elles explosent.

𝐈𝐥𝐲𝐚𝐧𝐚 : « L'énigme du coeur »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant