Chapitre 38

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Précédemment :
Au moment où le bus a marqué l'arrêt, je me suis hâté de descendre, mais hélas, l'homme a persisté à me suivre.

Il devait être ivre vu comment il titubait.

Il n'y avait nul être en ces rues et ce village, une solitude inhabituelle alors que l'accoutumée animation régnait.

Je me suis mis à courir, et lui de même, alors que des larmes se mirent à perler sur mon visage.

L'individu me saisit par l'arrière de mon Abaya et me transporta vers une destination inconnue.

Soudain, j'éprouvai sa libération, me retournai et vis...
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Nahyl.

Il saisit l'individu et lui assena un coup au ventre, ce qui le fit chuter au sol.

J'éprouvais un soulagement en constatant qu'il ne s'était guère passé grand-chose, car cela aurait pu être bien plus grave.

Moi : Purée, Al Hamdoulilah il n'y rien eu ! Merci, vraiment merci.

Nahyl : T'inquiète, hessoul, viens, j'te t'amène chez toi, parce qu'y'a grave des gens bizarres dans ton bus d'ses morts.

Moi : Ayaa, c'est vrai, merci !

Nous nous sommes dirigés vers son véhicule, puis nous avons pris la direction de mon quartier enchanteur, si l'on peut s'exprimer ainsi.

Vingt minutes plus tard...

Après être rentrée chez moi, accompagnée par Nahyl jusqu'à ma porte, j'ai pu apercevoir Ilyes et Yanis.

En train de se quereller, comme à leur habitude.

Moi : Salam Aleykoum.

Ilyes : Aleykoum Salam, ça va ? Y sait rien passer de grave à cause de ton frère le p*.

Moi : Non, et Al Hamdoulilah ! Il y aura pu avoir quelque chose de vraiment grave, vu que monsieur a décidé de ne pas vouloir venir me chercher !

Yanis : N*que tes morts, sale p*te.

Il s'est ensuite dirigé vers la porte, prenant le temps de le repousser contre le mur ; pour une fois, je n'ai pas ressenti de douleur...

Ilyes : Wah, il est fatiguant ce gars, j'ai jamais vu ça.

Moi : Vraiment, il ne veut pas changer, c'est grave !

J'ai ensuite contacté Nahyl, comme à notre habitude, afin de le retrouver sur le toit de mon édifice.

𝐈𝐥𝐲𝐚𝐧𝐚 : « L'énigme du coeur »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant