Chapitre 26

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Précédemment :

Yanis : C'est qui Wassim. *Me regarde mal et me dévisage*

Il m'a saisi et m'a projeté violemment contre le mur, provoquant le choc de ma tête contre le sol.

En cet instant, le film de ma vie défila devant mes yeux.
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Moi : Arrête, s'il te plaît, je n'ai rien fait.

Yanis : Et c'est qui Wassim alors ?

Il m'a infligé une gifle d'une telle vigueur que j'ai craint pour ma vie, frôlant l'effondrement. Par bonheur, les événements ne se sont pas déroulés de la sorte, Al Hamdoulilah.

Moi : C'est le fils de Rahma et c'est juste un shab, rien d'autre pour moi !

Yanis : Tu m'prends pour un c*n en plus ? Sale kehba va. J'vais t'faire souffrir.

Il m'a saisi par les cheveux et m'a violemment projetée au sol, une épreuve qui s'est étirée sur une demi-heure.

Les douleurs étaient si intenses que j'ai finalement succombé, gisant à terre. Il s'est ensuite acharné à me frapper de coups, en particulier sur la tête, une scène à la fois terrifiante et inacceptable.

Je réprimais mes pleurs, préférant le silence, consciente que toute réaction n'aurait fait qu'attirer davantage de violence. Mes paupières se fermaient peu à peu, mais un coup violent m'a brutalement ramenée à la réalité.

Yanis : Commence même pas à dormir, sale keh va. J'veux que tu sentes bien la douleur.

Moi : Arrête, s'il te plaît...

Il m'a assené un coup de pied démesuré à la tête, provoquant une douleur aiguë.

Après une demi-heure...

Il a persisté à me frapper sans répit, mes paupières se fermant progressivement, mais à chaque fois qu'il le remarquait, il délivrait un coup de pied encore plus violent.

Soudain, la porte s'est ouverte sur mon frère et ma mère, m'apportant un soulagement immédiat, sachant qu'ils allaient me défendre.

Ilyes s'approche de nous.

Ilyes : T'est fou ou quoi ?

Il le saisit par son vêtement de sport et lui infligea une claque d'une telle intensité que je ressentis de la douleur pour lui.

Ilyes : Tfou, t'as vu ça ou qu'on frappait les femmes ? On t'a jamais appris ça ou c'est comment ?

Il lui cracha dessus, Yanis le regarda d'un air sombre, mais endura les coups et les paroles d'Ilyes, car celui-ci persistait à le frapper.

Ilyes : Viens, on va là-bas, j'vais te montrer la même douleur que la p'tite elle a eue quand tu l'as frappé.

Yanis : Nan, ça y est frère. *Le regarder mal*.

𝐈𝐥𝐲𝐚𝐧𝐚 : « L'énigme du coeur »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant