Chapitre 36

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Précédemment :

Il devais encore être bourré et c'était même sûre, jamais il dirait de chose comme ça.

Moi : Tu es khabat Nahyl, dit moi ce que tu veux, s'il te plaît et laisse moi. Je sais que tu vas me dire des bels paroles, pour au final me laisser le cœur briser, comme d'habitude...

Nahyl : J'pense à toi h213, tm'as fait d'la sorcellerie zebi assume.
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J'étais profondément ébranlée par ses paroles, bien que je fusse pleinement consciente de son état précaire et de l'inutilité de manifester de la joie.

Malgré tout, un large sourire illuminait mon visage jusqu'à mes oreilles ; même ma mère l'a remarqué.

Yemma : Tu souris à qui comme ça benti ?

Moi : Euh... Ma copine yemma, elle me dit quelques choses de trop drôle.

Yemma : Tu ne vas pas le faire à moi, ma fille, j'étais pareille à ton âge !

Je me suis sentie rougir et j'ai simplement poursuivi la préparation de mon couscous. Une fois le repas terminé, j'ai dressé la table et nous avons dîné toutes les quatre, Amel étant rentrée.

En parlant de ma grande sœur, depuis cet événement tragique, elle rentre à des heures tardives et n'est pratiquement jamais chez nous.

Tout cela est étrange, mais je suppose qu'elle doit être avec ses amies ou autres.

J'espère sincèrement qu'elle ne s'implique pas dans des activités peu recommandables.

Basimah : Tu as dead le couscous, c'est beaucoup trop bon.

Yemma : Tellement, limite-t-elle le fait mieux que moi, celle-là !

J'ai ri et nous avons poursuivi notre repas tout en conversant.

J'ai observé qu'Amel ne s'adressait à personne, se contentant de manger avant de repartir dehors ou de regagner sa chambre.

Yemma : Benti, reste avec nous un peu, non ? Tu débarrasses directement dans ton assiette.

Amel : Ouais, je vais aller dehors là, je vous laisse.

Yemma : Hop hop hop, tu restes ici ! Je veux savoir où tu vas ces derniers temps, 3aychek.

Amel : Nulle part, je suis juste avec mes shab maman, ce n'est rien.

𝐈𝐥𝐲𝐚𝐧𝐚 : « L'énigme du coeur »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant