𝐈𝐥𝐲𝐚𝐧𝐚 : « L'énigme du coeur »

Chapitre 16

Précédemment :

Les filles, c'est officiel, je suis tombée amoureuse de lui...

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SI VOUS N'AIMER PAS LA VIOLENCE
( ex : sang, coup de feu etc...) JE VOUS INVITE À PAS NE PAS LIRE LES QUARTRE PROCHAIN CHAPITRES !

Pendant la nuit...

Malheureusement, l'heure de partir pour rejoindre leur gang de mafia était venue, afin de découvrir leurs activités secrètes. Personne n'était au courant, sauf le fameux shab de ma mère, et bien sûr, ma mère elle-même.

Nous nous sommes réveillées 30 minutes avant que Yanis et les autres ne se lèvent, les filles ayant passé la nuit chez moi.

Soudain, un coup frappa à notre porte, et j'ai été surprise de voir le shab de mon frère. Était-ce Rayan ? C'était un choc.

Rayan : Wesh, je ne pensais pas d'aller venir toi ? Mohim, venez.

On était déjà prêtes, et je n'aurais jamais pensé que ce serait Rayan, le fameux shab de Yanis. C'est tant mieux que ce soit lui, il ne va pas nous trahir. Car pour être honnête, si ça avait été quelqu'un d'autre, je n'aurais pas eu confiance.

On est montées dans le camion. Il nous a dit de nous cacher derrière les cartons. On ne nous verra pas là-dedans, il y a tellement de cartons.

Rayan : Attendez encore 10/15 minutes et ils font venir si tout va bien. Mohim, je retourne d'où je suis venue, sinon ça va faire cramer à tout à l'heure In Shaa الله.

Après son départ, sa destination demeurait inconnue. Nous avons échangé avec les filles avant de fermer progressivement les yeux, quand soudain des bruits et des voix masculines se firent entendre.

Parmi elles, une voix se démarquait : celle de Nahyl.

Yanis : Rentrer toutes les armes et la marchandise dans le 1ᵉʳ camion, si on n'a pas de place, on les met dans le 2ᵉ.  Et après, vous allez tous dans vos voitures.

J'entendais les autres gars s'éloigner peu à peu. Il ne restait plus que Nahyl, Yanis, Rayan et quelques autres.

Je me suis assoupie au moment où le camion démarrait. On devait avoir environ 10 heures et demie de route en perspective, et en camion, le trajet semblait interminable.

Quelques heures plus tard...

Je me suis sentie réveillée par une main douce, c'était Dhekra. Elle m'a fait signe de la suivre.

Dhekra : "On est réveillées, mais Rayan nous a dit d'attendre qu'ils entrent dans leur repaire."

Nous avons patienté, je dirais, une vingtaine de minutes, puis nous avons perçu la porte du camion s'ouvrir, c'était Rayan.

Rayan : Salam Aleykoum, on est arrivé au truc, venez et descendez, je vous dis où vous allez.

On est entré dans une maison étrange, tu vois. Franchement, je ne saurais vous décrire, mais elle était vraiment bizarre.

On a grimpé dans une chambre avec plusieurs lits.

Rayan : Surtout rester là ! Vous ne sortez que quand je vous le dis. Si vous voulez espionner, faites vraiment discrètement et dites-le-moi avant surtout.

Fedoua : Vas-y carré, ne t'inquiète même pas.

Puis, il est parti.

Dhekra : Je vais dormir moi, je pense, je suis grave fatiguée.