chapitre 32

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Leur insistance à parler de lui commençait à m'agacer sérieusement. Avais-je vraiment besoin qu'elles me rappellent sa présence ? Je ne savais pas. Peut-être avais-je mal réagi, mais la situation devenait pesante.

Sarah : Lunatique comme Isaac, mdrrrr.

Je me levai pour me diriger vers les toilettes. Habituellement, cela aurait été pour avoir un moment de solitude, mais là, j'avais juste envie de vomir.

Le moment où j'ai ressenti le besoin de vomir a été précédé d'une montée de stress et de malaise, exacerbée par la conversation sur Isaac. La pression montait progressivement, et lorsque j'ai senti que je ne pouvais plus la contenir, je me suis levée pour me diriger vers les toilettes.

Mes pas étaient lourds, mon estomac se tordait de plus en plus, et j'avais du mal à retenir mes nausées. Lorsque j'ai atteint les toilettes, mon corps n'a pas pu attendre davantage. Le contenu de mon estomac s'est violemment déversé juste devant la porte, dans un geste incontrôlable et presque désespéré.

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Le moment où j'ai ressenti le besoin de vomir a été précédé d'une montée de stress et de malaise, exacerbée par la conversation sur Isaac. La pression montait progressivement, et lorsque j'ai senti que je ne pouvais plus la contenir, je me suis levée pour me diriger vers les toilettes.

Mes pas étaient lourds, mon estomac se tordait de plus en plus, et j'avais du mal à retenir mes nausées. Lorsque j'ai atteint les toilettes, mon corps n'a pas pu attendre davantage. Le contenu de mon estomac s'est violemment déversé juste devant la porte, dans un geste incontrôlable et presque désespéré.

La sensation de vomir était éprouvante, et chaque réflexe semblait amplifier mon malaise. Mes mains tremblaient alors que je tentais de me retenir, mais la nausée était trop forte. Le résultat était là, devant moi : des vomissures sur le sol, sur mes vêtements, sur mes mains.

Les pas d'Asmaa résonnaient doucement derrière moi alors que je me retournais, surprise par sa présence. Son regard exprimait une inquiétude sincère, comme si elle avait immédiatement capté mon malaise.

Asmaa : Wesh... Ça va ?!

Je balbutiais une réponse incompréhensible, submergée par mes propres émotions et le malaise qui m'envahissait.

Asmaa : Viens, viens.

Nous nous sommes dirigées ensemble vers la salle de bain, où Asmaa attrapa un gant de toilette avec délicatesse. Elle le mouilla avec de l'eau fraîche et commença à le passer doucement sur mon visage, dans un geste apaisant et réconfortant.

Asmaa : FOU RIRE ON DIRAIT T'ES MON GOSSE ! 

Eclata-t-elle de rire, incapable de retenir son amusement même dans les moments inappropriés.

Son rire résonnait dans la pièce, brisant quelque peu la tension, mais pour moi, il ne parvenait pas à dissiper complètement l'angoisse qui m'envahissait. Malgré tout, je ne pouvais m'empêcher de sourire légèrement devant son exubérance.

Après son départ, je me suis attelée à nettoyer les dégâts avec une certaine hâte, mais le processus m'a semblé durer une éternité. Une fois la tâche achevée, je me suis finalement accordée une pause sous la douche.

L'eau ruisselant sur ma peau, je me suis retrouvée submergée par mes émotions, incapables de retenir les larmes qui se mélangeaient au flot apaisant. C'était devenu un rituel, presque un automatisme : chaque douche était l'occasion pour moi de laisser libre cours à mes pensées les plus sombres, de me sentir submergée par cette sensation de saleté qui ne semblait jamais s'estomper.

Kiara : Il dit Amin,je dis AmenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant