La nourriture déli les langues

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J'aime bien me salir les mains, c'est bizarre de dire ça mais c'est vrai, j'aime l'odeur du sang, du sang de mes ennemis, écouter leur supplication de les laisser en vie, alors qu'il n'y a pas longtemps, il me maudissais et me promettais une mort certaine, j'aime la bagarre, cogner sur des gens, les trancher comme du saucissons, leur expression sur le visage qu'on ils sont a l'agonie, et je m'assure bien que, le dernier visage qu'ils verrons, se sera le mien avant de s'avancer pour l'enfer car je sais qu'un jour, j'y serai moi aussi.

     Je n'ai connu que ça, je suis né dans ça, je vis, et je mourrai dans ça, peut être comme mon père, au combat, peut être comme ma mère, d'une maladie, ou alors je connaîtrait un sort moins triste, je mourrai de vieillesse.

-CHÉRIE, JE SUIS RENTRÉ.

     Je suis la vois du fameux JohnWinslay que je cherche depuis, je suis assis avec mes hommes dans sa cuisine, à table avec son épouse. J'ai demandé à ce qu'elle fasse monter leur me enfants dans la chambre et de les y enfermer, je ne m'en prend pas aux enfants. Il arrive enfin à la cuisine et nous vois tous assis à la salle à manger, il vois la peur dans le visage de sa femme et comprend tout.

-Ah! Voilà celui que nous attendions tous! Allez, viens à table! Ta femme a fait un ragoût de porc divin! Tu m'en dira des nouvelles. Dit Gino. Je préférais le laisser parler.

     Je ne suis las trop bavard, lorsqu'il s'agit de faire des négociations, de ce genre, il le fait à ma place. Le seul problème avec mon frère, c'est qu'il a la gâchette facile.

-Qui, qui... qui êtes vous?

-Allez, du calme John assied toi d'abord mon cher ami. Il s'assoit.

-Emy, tu vas bien? Et les enfants ils vont bien? Ils t'ont fait du mal?

-Les enfants vont bien, ils sont dans la chambre moi aussi je vas bien dit elle pleurant. John qui sont ses gens? Tu m'avais dit que tu avais arrêté toutes ses magouilles.

-Oui bébé, j'ai tout arrêté moi même je ne comprend pas ce qui se...

-Shuuuuuuuut... Taisez vous un peu. Nous ne sommes pas la pour écouter vos querelles d'amoureux. Vous ferez ça plus tard, du moins, si vous êtes encore là. Hahahaha

Mon frère est un peu sadique je doit avouer

-Non trêve de bavardage inutile. Emy, sert donc à manger à ton mari.

      Elle se lève  pour s'exécuter suivie de prêt par un de nos gardes  avec une arme pointer sur elle. Et puis reviens.

-Maintenant mange. Il s'exécuta.

-C'est bon hein?

-Oui dit t'il avec peur. En continuant à manger et en lançant de temps en temps un œil sur sa femme terrifiée.

-Maintenant, si tu ne veux pas qu'à ton prochain ragoût à la place du porc, se soit la tête d'une de tes gosses, tu vas nous dire tout ce qu'on veux entendre. Dit Gino d'une vois pas rock et ténébreuse en lui fusillant du regard. Sa vois c'était endurcis, son regard avait noirci, son visage lumineux c'était fermé. Mon frère tout comme moi avait les tofs d'un leader de mafia. Nous avions été élevé dans ce but.

-Pitié, pitié ne faite pas de mal à mes yeux enfants, je vous dirai tout ce que vous voulez entendre.

-Biiiieeenn, mais c'est super ça! Hahahahaha comme nous avons établi les bases c'est parfait. Son visage c'était désassombri et son sourire est revenu. Tu sais qui nous sommes?

-Non, je ne sais pas.

-Tu connais la famille Costa?

     Le visage de John était encore plus remplie de peur qu'avant, la grimace qu'il faisait m'amusais un peu. C'est ça, ça fait toujours ça qu'on on parlais de nous.  Il étais entrain de prendre encore plus conscience de la merde dans laquelle il se trouvais, et il n'en a que une très maigre idée même.

Sous l'emprise de la mafia: l'épouse du capoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant