La rencontre

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La messe est enfin terminée. Elle a durer une éternité, 2h carrément.

C'est ironique non? Voir des mafieux allez dans une église, demander une messe pour le repos de l'âme de leur proche alors que, ils sont parmis ceux la qui rappelle le plus souvent à Dieu tous les êtres. Ils sont là, ils récitent le votre père qui est au cieux et le je vous salut Marie, comme de vrais catholiques accomplie alors que, se sont eux qui on les mains pleines de sang, de sang de personnes.

Dès que la messe c'est arrêté, Rocco et son frère sont sortis en premier de l'église après le prêtre, avant qu'après les autres sont sortis. Nous arrivons enfin dehors et je ne le vois pas. Il doit déjà être parti je suppose.

-Bon, ne perdons pas de temps. Nous allons tout de suite à la Villa Costa.

Sur ces mots d'Enrique, nous regagnons à nouveau les voitures et les chauffeurs nous mènes cette fois à la Villa de la famille Costa. Tout le long du trajet, je ne dit rien, d'ailleurs même sur le trajet de l'allée pour l'église je ne dis toujours aucun mots car j'étais intriguée, je ne voulais pas le voir, je ne voulais pas le connaître. Mais cette fois, mon calme est différent. Je suis calme car, je veux le revoir, je veux pouvoir mieux le contempler, pour pouvoir me faire une meilleure idée de lui.

-Alors amoré mio, comment tu te sent?

-Je me sent bien mamma, ne t'en fait pas pour moi.
-D'accord ma fille. Me dit ma mère en souriant.

Mon père lui, ne calculais, ni moi, ni ma mère. Mais ça, on avais l'habitude de sca froideur naturelle.
Nous arrivons enfin au manoir de la famille Costa, elle est énorme! C'est deux fois celle de mon père, et je pèse mes mots. Dans mes souvenirs, ça avais l'ère, moins grand.  Nous sortons de la voiture et nous dirigeons vers l'intérieur du manoir toujours suivie de près par mes frères et oncle Paolo.

Cette villa est magnifique et gigantesque, le jardin et superbe et on y vois différentes variétés de fleurs, il y'a une belle fontaine à gauche, une peu comme celle que l'on vois dans les films, il y'a des arbres fruitiers, et je vois même au loin, un chien qui joue dans le jardin. On ne dirais vraiment pas la maison de quelqu'un d'aussi sanguinaire qu'était Georgio Costa.
        Nous entrons en fin dans la villa. Il y'a déjà beaucoup de monde à l'intérieur pour la veillée. J'ai le ventre qui grogne, j'ai une faim de loup, et je suis aussi épuisée. Mon père et oncle Paolo se détachent vite de nous pour allez saluer et discuter avec d'autres personnes. Je suis là, avec Luka, Enriqué et Maman

-Maman?

-Oui amoré mio.

-Je... J'ai très faim.

-C'est bien toi ça! C'est à un veillé que ta famine se reveille! Grogne Enriqué.

-Eeeeeh, doucement Enriqué, ce n'est pas ce sa faute si elle a faim.

-Breef, tout ça ne me sert à rien. Je vais chercher à discuter avec des gens. Et il s'en va

-Irina, retient toi encore un peu s'il te plais, après nous irons chercher quelque chose à manger. Me dit Luka.

-D'accord.

Deux dames s'approchent de nous en souriant. Je ne l'ai connais pas, elle sont belles et sophistiquées aussi, elles ont a peu près l'âge de ma mère ou un peu plus.

-Suzanna! Comment tu vas? Mais ça fait des lustres!
-Ça tu peux le dire Martha. Très longtemps même. Dit l'autre dame
-Ah, désolé mesdames. C'est juste que depuis, je n'ai plus eu le temps de venir avec mon mari en voyage ici à New York. Mais vous êtes ravissante!
Ma mère et ces femmes se lancent dans une grande discussion et on décale un peu Luka et moi. Luka est appeller par mon père et je suis à présent seule. Je vais me mettredans un coins, ou j'observe les gens et ma famille discuter et se mettre à l'aise; c'est la que je me dit, que je n'ai vraiment pas ma place ici.

Sous l'emprise de la mafia: l'épouse du capoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant