Sous l'emprise de la mafia: l'épouse du capo

Sentiment enfui enfin avoué

    Je savais que New York étais beau, mais c'est encore mieux que dans mes souvenirs et ce que je vois sur les réseaux. C'est magnifique, et avec Luka comme guide, c'est encore mieux. Depuis on ne fais que visiter tous les coins et recoins de cette magnifique et grande ville. Je suis tellement heureuse de passer du temps avec lui, tête à tête, rien que nous deux. C'est tout simplement comme un rêve.

-Bon voici le café dont je t'ai parlé. Asseyons nous pour nous reposer un peut.

-D'accord.

       On entre dans le café, le serveur prend notre commande un cappuccino et un gâteau au chocolat pour moi et juste un café au lait pour Luka.

-Ça a été une sacrée surprise pour moi de te voir ce matin. Vue que tu m'avais dit que tu allais venir, puis tu ta repoussé ta venue, et la tu viens dans rien me dire. J'étais assez surpris mais agréable surpris

-Je sais que je t'ai un peu tourné en ce qui concerne ma venue. Mais lorsque je me suis enfin décidé et que j'ai été libre, j'ai décidé de vous faire la surprise. Même Irina n'étais pas au courant.

-Dans tous les cas, je suis heureux de te revoir Marie. Je lui sourit. Alors, dit moi, comment tu vas? Comment va ton père? Et ma famille?

-Oh! Ils vont tous bien. Tu sais ta mère essaie de s'adapter tant bien que mal à ton absence et celle d'Irina. Elle sourit tout le temps mais je sais qu'elle est triste de pas pouvoir vous voir, je vais de temps en temps la voir pour qu'elle ne s'ennuie pas. Elle m'a dit qu'elle a voulu venir vous rendre visite mais votre père refuse, il dit qu'elle attende après le mariage uniquement.

-Voici vis commande messieurs dames

-Oh merci dit je

-Ma pauvre maman, elle qui est si fragile, aussi fragile qu'Irina, j'imagine pas son chagrin depuis notre absence. Elle nous appelles tous les jours! Elle a même créé un groupe WhatsApp où nous sommes tous les trois et elle nous dit bonjour et elle demande comment on va. Elle demande des photos de nous et tout. Elle me manque beaucoup.

-Je sais. Mais bon actuellement elle est en voyage avec des vieilles amies à elle pour se distraire. Ton père lui a au moins accordé ça car lui même voyait qu'elle n'allais pas bien.

-Oui je sais; elle me l'a dit et m'envoie des photos tous les jours. Dit il en souriant un peu. Mais assez parlé d'eux. Parlons à présent de nous. Euuuh... de toi je veux dire. Je rougis un peu

-Et bien, j'ai commencé l'école depuis peu comme tu le sais et j'aime bien. Papa m'aide beaucoup et j'aime ce que je fais. Et toi, le travail?

-Ooohh, ça va. On fait comme on peu. Je reviens tout juste de Sydney avec Gino et ses  hommes pour chercher quelqu'un... malheureusement on ne l'a pas trouvé. Mais au moins, on sais ou il se trouve a présent et on a les moyens pour qu'il parle.

-Comment ça?

-C'est pas important t'inquiète. Et d'ailleurs même cette partie la ne me concerne pas. C'est Rocco et Gino qui s'en chargeront. C'est une affaire assez... personnel.

-D'accord je vois. Je ne voulais pas poser plus de question dans ce sens car je voyais bien qu'il ne voulais pas en parler. New York est une belle ville. Aussi belle que Los Angeles

-Oui c'est vrai. Mais aucune de ces villes n'est aussi belle que toi Mariposa. Me dit il droit dans les yeux après avoir pris un gorgé de son café. Moi je le regardais d'un air un peu étonné alors que j'avais encore dans ma bouche la cuillère du gâteau que j'avais mis dans ma bouche. Je la retire timidement, je baisse mon regard, je remet une mèche de cheveux rebelle derrière mon oreille et je sourit timidement. Merci. Dit je timidement les yeux toujours baissé