Louisa' diary: from chaos to light

Chapitre 14

— De nouveaux témoignages ? Comment peut-il avoir de nouveaux témoignage !? Ma fille est la VICTIME!
— Monsieur Rivers calmez vous s'il vous plaît...
— Me calmez !? Est ce que ce... ce... garçon c'est retrouvé entre la vie et la mort !? Est-ce qu'il a été alité pendant plus de 4 mois !?
— Chéri calme toi s'il te plaît, laisse le parler...
— Me calmer !? Comment vous pouvez me dire de me calmer !? Enfin Molly ! Des témoignages en sa faveur ! Tu te rends compte !?

Même si mon père n'avait pas l'air décidé à écouter notre avocat, il avait finis par se taire en s'asseyant sur sa chaise et remuant nerveusement sa jambe.

— Je sais que cette nouvelle doit être assez... déroutante, mais oui, d'après les derniers documents qui m'ont été fournis, les Sullivan sont bien parvenus à obtenir des témoignages corroborants les dire de leurs fils...
— Co...

Ma mère serra fermement la main de mon père pour qu'il se taise et laisse l'avocat parler.

— ... Les Sullivan ont fait la demande de pourparlers pour tenter de trouver un accord avec vous et éviter le passage au tribunal...
— Éviter le passage au tribunal !?
— Bill tais-toi et laisse le finir bon sang !
— ... Je disais donc qu'une entrevue est prévu comme je vous l'ai indiqué dans mon message. Je vous parle donc de ces témoignages car j'ai pensé qu'ils pourraient vous être utile pour prendre la bonne décision.
— La bonne décision est d'aller jusqu'au bout ! Ce monstre ne peut pas rester impuni ! C'est hors de question ! S'emporta à nouveau mon père.

Ma mère et moi qui avions prit les documents que nous avez tendus l'avocat en avions commencé la lecture tandis que mon père repartait dans une crise d'hystérie.
Au fur et à mesure de ma lecture mes mains tremblaient et mes yeux s'embuaient.

« Louisa Rivers était consciente de la personne qu'était Matthew bien avant que leur relation ne commence.
Tout le monde dans notre collège savait que Matthew pouvait être très violent lorsqu'il avait ses sautes d'humeurs.
Louisa le savait et ça ne l'a jamais dérangé bien au contraire, ça lui arrivait de se venter que Matthew soit si « fort ».
On aurait presque dit qu'elle aimait se faire battre... »

À peine arrivé à la moitié de l'un de témoignages je j'étais un coup d'œil au second qui relatais quasiment les mêmes informations. Mon réflexe fut de regarder le début et la fin des témoignages pour découvrir les noms mais ils était effacé et marqué « ****** » pour garder l'anonymat.

Ma mère me regarda le visage fermé.
Mes mains tremblant toujours je posais le papier sur le bureau et regardais le sol.

Une fois que mon père eut finis de s'énerver, l'avocat se leva de sa chaise et alla ouvrir la porte.
Il serra la main aux personnes qui venait de rentrer et les invitait à s'installer à l'opposé de mes parents et moi.
Je relevais la tête pour voir qui était les personnes qui venait de rentrer et reconnus le père de Matthew accompagné d'une femme, probablement son avocate.

Monsieur Sullivan tandis une main en direction de mon père pour lui serrer la main, mais mon père resta statique.

— Pouvons-nous commencer maître Wiggins ?
— Allons-y Tanner.
— Je suppose que mon collègue vous a déjà fait part de la raison de cette entrevue ? Mes parents hochèrent de la tête, voici donc l'accord que nous vous proposons.

Maitre Tanner sortit de son attaché-case un contrat qu'elle glissa vers nous sur la table.
Mon père le pris dans ses mains, le lit quelques secondes et le tendit aussi vite à l'avocat, qui chuchota quelques choses à mes parents.

— De l'argent ? Nous ne sommes peut être pas issus de la même classe que vous monsieur Sullivan mais nous ne sommes pas pour autant à vendre ! S'écria mon père.
— Vous voulez plus c'est ça ? Je peux encore ajouter quelques zéros de plus. Répondit il.
— Vous pourriez nous proposer tout l'or du monde et même l'une des 7 merveilles du mondes que nous refuserions !