Elle n'est pas celle qu'elle prétend être et essaye de cacher son passé au détriment de sa vie. Il est à la recherche du pouvoir ultime et ne laissera personne se mettre en travers de son chemin. Entre secret, vengeance, et trahison, l'amour aura t...
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" Ne laisse rien ni personne t'empêcher d'achever l'écriture de ce roman auquel tu tiens tant "
Deux jours plus tard.
Lorsque je sortis de la cuisine avec un verre de lait frais, je vis un vieillard assit dans le salon. Il avait un corps malingre, cheveux grisonnants, une peau plutôt ridée, des yeux bleus vifs.
Il me regarda avant de me lancer un sourire tendre, je pensais que c'était lui le dénommé Adriano. Il devait compter pour Samir au point qu'il s'affiche avec moi durant une soirée.
Adriano: Bruna !
Je fronçai les sourcils quand il prononça mon prénom d'une facilité comme s'il me connaissait depuis toujours.
Moi: Moi ?
Adriano: Non, moi.
Répliqua-t-il sur un ton sardonique.
Je m'assis à ses côtés avec un petit sourire espiègle, il ne m'avait l'air gentil. Je pensais que si je lui disais de plaider pour ma cause, il le ferait. Mais mieux valait que je n'implique personne. Je durais ici que prévu, ce n'était pas dans mes plans.
Moi: Et vous c'est Adriano ?
Demandai-je comme une formalité alors que j'étais sûre.
Adriano: Je savais pas que j'étais convoité à ce point.
Un sourire étira la courbe de mes lèvres.
Moi: En effet, j'ai beaucoup entendu parler de vous.
Il plissa ses yeux en me regardant.
Adriano: Tutoie moi jeune fille, ça doit être un supplice de ne pas le faire.
J'avouai qu'il n'avait pas tort.
Adriano: Tu es encore plus belle de près que de loin.
Je souris d'un sourire qui atteignit mes yeux, j'adorais les compliments des enfants et des vieilles personnes.
Moi: Faut me jurer sinon j'y croirais pas.
Il se laissa légèrement glisser sur le fauteuil en me regardant, je n'avais pas prit l'habitude de me sentir bien avec les compliments donc je préférais m'en assurer.
Adriano: Je te jure. Toutes les façons, je suis un vieillard qui ne ment jamais.
Cette phrase était tellement douteuse que je ne préférais rien rajouter, lui même savait très bien que ça aussi c'était un mensonge. J'allais parler quand Samir surgit de son bureau, je m'étais levée quand je le vis.