The shadow (bakugo x mâle oc)

Prologue

Shigaraki se trouvait dans un entrepôt sombre et humide. Devant lui, un garçon nettoyait soigneusement une marionnette.

Shigaraki : Shadow, j'ai besoin de toi.

Shadow : Je croyais que tu ne voulais pas que j'intervienne, grand frère.

Shigaraki : Les choses ont changé. Le professeur a été capturé.

Shadow : Et on fait comment ? Ça va paraître bizarre que j'intègre Yuei en cours d'année, non ?

Shigaraki : Les héros sont trop crédules pour se douter de quoi que ce soit.

Shadow acheva de nettoyer sa marionnette et attacha des fils noirs à chaque articulation, reliant tous les fils à sa main droite. La marionnette avait l'apparence d'un homme. À côté, une autre marionnette, celle-ci en forme de femme, attendait.

Shadow : Très bien, mais si je tue des élèves de Yuei, ne m'en veux pas.

Shigaraki : Fais ce que tu veux tant que tu peux jouer le rôle d'espion aussi longtemps qu'on en a besoin.

Shadow : Tu me prends pour un imbécile ou quoi ? Tuer sans me faire repérer n'est pas un problème. Le vrai défi, c'est de me retenir de tuer tous les héros une fois au milieu des élèves.

Shadow relia ses fils à l'autre marionnette.

Shigaraki : Je peux me retenir de tuer, pas comme toi.

Shigaraki : Bien, je te laisse alors.

Shadow : Attends, sous quel nom m'as-tu inscrit à Yuei ?

Shigaraki : Nox. Et si ça ne te plaît pas, j'en ai rien à faire. Arrête avec tes marionnettes, c'est glauque.

Nox : Tu te crois mieux avec tes mains ?

Shigaraki sortit du hangar, lançant un regard noir à Nox.

Nox continua de nettoyer ses marionnettes comme si de rien n'était.

Nox : Papa, maman, j'espère ne pas trop vous abîmer pendant un combat à Yuei. Enfin bon, j'ai toujours des marionnettes de remplacement au pire des cas.

Un homme était attaché à une chaise avec des fils sur lui.

Nox : Ah non, c'est vrai. Il faut paraître normal. Alors, j'essaierai mes marionnettes normales en premier.

Nox bougea légèrement un de ses doigts et le fil brisa la nuque de l'homme.

Nox : Pas besoin que tu sois en vie pour me servir de ton corps. De plus, je déteste t'entendre crier.