𝐖𝐀𝐍𝐍𝐀 𝐁𝐄 𝐘𝐎𝐔𝐑𝐒

Chapitre 17

Jasmine.

Le sauvage plaça son genou entre mes jambes alors que je tentais de me relever, il agrippa mes poignée puis les plaquèrent contre au lit . Son corps s'allongea légèrement sur le mien, la panique me prit d'un coup. Ses yeux jonglaient entre ma bouche et mes yeux. J'avais une boule dans le ventre, ma gorge était sèche je sentais des petits fourmillant dans mes pieds.

Ses lèvres viennent parcourir le peau de mon cou , elles effleuraient ma peau. Je sentais l'angoisse et le dégoût me gagnaient. Je ne veux pas qu'il me touche, je me débattais du mieux que je pouvais. Je me petrifiai , ses lèvres étaient sur mon buste. Je sentis une substance froide et humidifié touché ma peau, c'était sa langue. Son genou était toujours présent entre mes jambes, il guetta ma réaction tout en léchant mon buste. J'avais envie de vomir, il arrêta ses mouvements puis se redressa , il me souriait de toute ses dents , il captura mes poignée avec une seule de ses mains tandis que son autre main libre il captura le bout de ma serviette.

Il comptait me violer !

Je gesticule de tous les sens, je ne veux pas qu'il me touche, il hors de question qu'il le fasse. Je sentais un liquide tiède perlé sur ma joue , je pleurais à chaud larme . Lui , il me souriait de toute ses dents c'est un homme est un vrai psychopathe. Il se rapprocha de mon oreille, je sentais son souffle s'abattre sur ma peau.

- Je suis un psychopathe mais je ne forcerai jamais une femme à faire une chose qu'elle ne veut pas de plus tu es une baleine, tu es loin d'avoir un corps de mannequin.

Il se releva puis arracha sa chemise instinctivement je serrais mes cuisses, je ne voulais plus être dans cette position. Je ravalais mes sanglots et merde je venais de pleurnicher comme une gamine.

- Tu devrais apprendre à fermer ta grande gueule. Dit-il en fermant la porte.

Salopard, Con de merde, Fils de chien, sauvage à la con , enculé , barbare .

Je m'assois sur lit , je manque de mourir d'un AVC , mes mains tremblaient, mon estomac se noua ma gorge était sèche. À lui seul , il arrivait à mettre tout mes sens en alerte, c'est beaucoup trop pour moi .

J'apprends que la femme qui m'avait sauvé de mes démons, celle qui m'apprit à renaître, celle qui m'a sculpté pour me donner en cadeau à son barbe de fils . Je n'étais qu'un pion sur l'échiquier, tout était faux, son amour, ma vie  ,tout.

Tout n'est qu'imposture !

- Tu n'était qu'un pion dans leur jeux malsain , un cadeau pour le sauvage !

À cette petite voix, je me petrifiai .

Elle était de retour.

Cette peste , mon démon !

Je relevais ma tête ma vue était brouillé par les larmes , elle se tient devant moi  vêtu de son uniforme scolaire les cheveux entremêlés , son sourire est malsain, ses yeux sont marqués des cernes et son visage est pâle.

Après trois ans de thérapie pour la faire sortir de ma tête, elle revient encore plus déterminé que jamais. Mon passé, mon poison, mon ombre.

Cette petite moi qui a autrefois existé dans un  lointain passé.

Ma mini moi .

- Je t'ai manqué Athéna, je devrais dire Jasmine. Dit - elle de sa petite voix .

- Tu aurait dû m'écouter et ne fier pas inconnu, on regarde ce que je suis devenue ton ombre, un passé que tu essaies d'enterrer par tous les moyens ! Nous sommes tout les deux morte ce jour là ,  accepte la vérité ! Accepté moi  !