24. We can't be friends.

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"Tu peux prendre mes idées, j'en aurais d'autres."

Coco Chanel










📍Centre commercial The Grove, USA









Samedi 15 novembre

14 heures





Fidji Rizzi.





- Jude ! Je n'ai pas besoin de tout ça ! M'exaspérais-je pour la centième fois de l'après-midi.

Il s'approchera de moi avec les sacs des boutiques que nous avions faites.

Channel, YSL, Prada, Dior et maintenant, nous étions en train de faire Céline, où j'ai trouvé une robe magnifique.

Nous avions même trouvé son costume pour la soirée ; Un ensemble de costume noir Prada avec une chemise blanche de la même marque.

- Je sais, mais tout te va bien, alors j'ai pris un peu de tout. Déclara-t-il avec sa casquette sur sa tête.

Je m'étais vêtue d'un short en jean avec une chemise Ralph Lauren, de baskets blanches avec la même casquette que Jude.

Shopping de dernière minute après avoir découvert qu'aucune robe que j'avais apportée ne me plaisais.

Les femmes ce soir seront magnifiques et je dois placer la barre haut. Sous les projecteurs et devant les yeux de tout le monde.

- Donc... t'as trouvé une robe ? Me demanda-t-il en buvant dans mon gobelet de latte au caramel.

- Jude !

- Quoi ? Ce n'est pas comme si on ne s'était jamais embrassé ? Mes lèvres sur ta paille, c'est comme tes lèvres sur les miennes...

- Oui, j'ai compris ! Riais-je en lui faisant un baiser sur sa fossette.

Il me sourit et prit ma main dans la sienne.

- J'ai trouvé celle-ci. Lui dis-je en lui montrant une longue robe en satin noir, dos nu qui s'attache avec des lacets, et avec une fente à la jambe droite.

Il resta bouche bée.

- Tu n'aime pas ?

Il prit la robe et nous dirigea vers les cabines d'essayage de Céline.

- Je peux le faire, seule. Rétorquais-je alors qu'il me débarrassait de quelques sacs.

- Je sais. Mais laisse-moi t'aider. Répondit-il en me regardant tendrement.

Je le regardai d'un air blasé et il me souriait.

- Vas-y. Je t'attends, trésor. M'assura-t-il finalement en s'asseyant sur le canapé en face de ma cabine.

Je pris la robe ainsi que talons YSL que nous avions achetés plus tôt et tirait le rideau.

- Mais non ! Je voulais te voir, moi ! Se plaignait Jude.

- Ohlala, t'es un gamin ! Répliquais-je en retirant ma chemise.

Je me déshabillais en jetant un coup d'œil à la peau brûlée de l'intérieur de ma cuisse.

Il reste encore une grande cicatrice qui remonte jusqu'en haut de mon bassin. Je grimaçais en revoyant cette horreur. 

J'enfilai la robe et la lissai avec mes mains puis détachai ma tresse haute pour laisser mes cheveux ondulés libres.

𝐂𝐀𝐒𝐔𝐒 𝐁𝐄𝐋𝐋𝐈 | 𝐓𝐨𝐦𝐞 𝟏 et 𝟏.𝟓Où les histoires vivent. Découvrez maintenant