l'Autre Monde (Hisoka x oc)

Chapitre 23: Fais ce que je te dis

pdv Nao:

Hisoka: fais ce que je te dis et tous ira bien. 

-Comme si j'allais t'écouter. 

Ce malade se lèche les lèvres et me regarde en souriant. 

Hisoka: Tu as bien changé depuis l'examen Hunter~ Illumi serait surpris de voir que j'avais raison. 

-Comment ça ? 

Je me retrouve à marcher à côté d'Hisoka, dans les ruines. Après une réunion de la brigade auquel j'ai été évidement exclu, Hisoka s'était porté volontaire pour me surveiller. Evidement.

Etrangement, mes vieilles habitudes de tenir le silence ont disparu, mais je pense que je devrai les reprendre, au  moins avec lui. 

Hisoka: Tu as murie~ Tu n'as toujours aucun Nen, et pourtant tu sembles bien sur de toi. Voir même trop. 

Je croise son regard. Evidement qu'il n'a pas oublié la boucherie de l'examen hunter. C'est la première foie que Vichama, le dieu de la mort se réveilla, et la dernière d'ailleurs. Mayoux m'a dit que la cause devait être ma peur. 

-Tu ne dois pas juger au regard, parfois ça n'a rien à voir avec l'intérieur d'une personne.

Il s'arrêta et m'attrapa la nuque pour me tirer vers lui. Il se penche et pose son regard malicieux dans mes yeux. 

Hisoka: Alors laisse moi rentrer dans ton corps~ 

Il pose sa main libre sur sa hanche et me prend de haut. Ce serai mentir si je disais que rien ne se passait dans mon esprit. Quel pervers, il a certainement du jouer sur le sous entendu !

-T'es...pas possible ! Lâche moi si tu veux pas en prendre plain la gueule. 

Le sourire du magicien s'étira. Rapidement et sans  prévenir, il attrapa mes poignets et s'avança au plus proche de moi. Je me retrouve à reculer les mains prise. J'aurai pu me dégager facilement, mais cet espoir s'enfuit lorsque je sent le mur dans mon dos. Son regard brillant, son teint pâle, je peux pas le nier: il a du charme. Il déplace sa main de ma nuque pour entourer ma gorge et y planter légèrement ses ongles de félin. 

Hisoka: Oooh tu sorts les griffes ? 

-Tu es détestable. 

Son corp gardait une distance entre nous, et pourtant il se pencha vers moi à telle point que nos visage était proche. 

Hisoka: Tu es adorable chaton. 

Je le regarde, les sourcils froncés et mes joues qui chauffaient doucement. C'est ridicule. Je deteste ce gars. A mon regard noir, il sourit et me lâcha pour repartir. Je le suis sans un mots, un peu plus sur mes gardes. 

-Il va se passer quoi maintenant ? 

Hisoka: Mmmh ?

Il dévia ses pupilles sur moi. 

Hisoka: Qui sais, peut être que tu pourrais plaire à Chrollo~

-Tu sais que c'est risqué que je reste dans la brigade, autant pour toi que pour moi ? 

Hisoka: J'adore entendre ta voix~ C'est exaltent. 

Je le regarde de travers, il esquive le sujet en me complimentant. Je tourne mon regard fâce à moi et ne lui adresse plus mon attention. Nous marchions en silence lorsque soudain, mon instinct me met en alerte. Je recule d'un saut et vois à l'endroit où je me trouvais une épée avec un manche de parapluie planté dans le sol. Lorsque je lève la tête, Feitan se trouvait là debout, sur les ruines des anciennes habitations. Hisoka se recula pour regarder la scène. Evidemment, m'aider aurait été trop aimable de sa part.  

Feitan: Pour une femme sans Nen, tu es bien réactive. Et tu sais te défendre. 

Hisoka: Ooooh vous êtes vous déjà confronté ? 

Feitan: Reste en dehors de ça. Si le bosse ne la veut pas dans la brigade je veut la tuer personnellement. 

A ses mots, un frissons froid me traverse tous mon être. Le Ren, je me tourne vers Hisoka, son regard est terrifiant, c'est la première fois que je ne le vois pas sourire. Feitan regarde également Hisoka et ricane. 

Feitan: Que ce passe t il Hisoka ? Aurai tu faiblies ? 

Leur échange de regard assassin les absorbes autant l'un que l'autre. Pourtant, je suis convaincu que si je bouge d'un millimètre, je suis le centre de l'attention. Il faut que je m'échappe, de toute façon rester avec la brigade est mauvaise pour mes plans, ceux de Kurapika et   même si c'est e dernier de mes soucis, ceux d'Hisoka. La vrai question c'est de savoir si Gon et Kirua sont toujours captifs. Mon instinct me dit de leur faire confiance, ils ont le Nen, ils sont intelligents pour leur âge. Mais si je m'échappe et qu'il sont toujours prisonnier... 

Tante Mitho me tuerai !

Lorsque je vois le soleil se coucher, je me rend compte à quel point il est tard. Le soleil est mon dernier échappatoire. Je souffle légèrement et sent les rayons du soleil chauffer mon corps, les dernier de la journée. Je ferme les yeux et me laisse emporter, lorsque je les réouvre, je me trouve dans une ruelle, de York Shin. La où j'ai parlé avec mon perroquet la dernière fois. Evidement, mon corps passe entre les rayons de soleil, mais pas mes habits, c'est embêtant. Merci Ganis ne m'avoir fait oublier le sens du mot pudeur. Cette femme vivait la plus part de son temps à moitié nu pour "méditer". Quoi qu'il en sois je ne suis pas dans un temple mais dans une ruelle, mieux vaux ne pas trainer là. Je me dirige vers une porte, certainement la porte d'une arrière boutique, Je m'y faufile et découvre un tas de carton. Une boutique d'antiquité... Je cherche dans les cartons au moins un morceau de tissu pour ne pas me faire exorbiter. Le son de la voix du vendeur au loin me prouvait qu'il était occupé avec un client. Au bout du 15 ème carton, je trouver une sorte de chemise médiéval et poussiéreuse. Elle me rappel la chemise de pirate que je portais autrefois. Je l'enfile et trouver un peu plus loin une vieille jupe bleu. Je puais la poussière désormais, mais c'est mieux que rien. Alors que la clochette de la porte de la boutique sonnait, les pas du vendeur se rapprochaient par ici. Je lache un jurons et sort de la arrière boutique aussi rapidement que je le pue. Maintenant, je vais juste aller retrouver Léolio, il doit savoir si les deux garçons se sont sortie d'affaire.

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